Petit coin littérature
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Petit coin littérature
Comme plusieurs l'ont déjà constaté , le "petit coin littérature" a disparu , je ne sais pour quel motif ???
J'ouvre un nouveau fil pour que vous puissiez y déposer vos découvertes non A.A.
J'ouvre le bal avec "Les petits bonheurs "
J'ouvre un nouveau fil pour que vous puissiez y déposer vos découvertes non A.A.
J'ouvre le bal avec "Les petits bonheurs "
Chaque jour, nous vivons des dizaines de petits bonheurs qu’on ne voit ni ne réalise souvent même pas. Pourtant, le bonheur est avant tout une somme de petits bonheurs… C’est ainsi qu’on court après le bonheur sans même voir tous les petits bonheurs qui nous arrivent chaque jour ! Résultat : on court encore et toujours après le bonheur et on se plaint qu’on n’est pas heureux !
Mais si vous regardez chaque jour chaque moment que vous vivez, vous réaliserez ces petits bonheurs… et plus vous les réaliserez, plus vous vous sentirez heureux. Simpliste, vous trouvez ? Essayez donc ! Je vous donne ici des exemples, à vous de les voir, de les réaliser, de les savourer… et d’en trouver beaucoup d’autres dans le même style !
En fait, les petits bonheurs passent surtout par nos cinq sens, des sens qui nous ramènent automatiquement à notre coeur si on s’y arrête juste quelques secondes :
La vue : le plaisir de voir quelque chose de beau, comme le sourire de la caissière au supermarché, un bon film à la TV ou au cinéma, un bon livre et le temps de le lire, un magnifique coucher du soleil ou une fleur qui s’ouvre…
Le toucher : la douceur de la peau de bébé ou de notre conjoint(e), une bonne douche chaude et réconfortante ou un bon bain, le vent sur notre
visage, le bisou de son enfant ou de son conjoint…
visage, le bisou de son enfant ou de son conjoint…
Le goût : un bon repas, le goût d’un fruit mûr à point, d’un dessert qu’on aime mais qu’on mange rarement…
L’ouïe : le téléphone d’un(e) ami(e), une belle chanson ou musique qui passe à la radio, le chant des oiseaux, le bruit de la rivière…
Les odeurs : l’odeur de café ou du chocolat chaud, l’odeur du gazon mouillé ou de la nature pendant une promenade en forêt…
Et des dizaines d’autres petits bonheurs qui touchent notre coeur, tout simplement :
- La voisine qui vous apporte un pot de confiture
- Une soirée entre amis
- Une promenade dans le calme
- Un moment seul où on n’a rien à faire d’autre que savourer ce moment
- Un «Merci !» de son patron, ou même un petit compliment
- Un retour d’impôts qu’on n’attendait pas
- Une invitation
- La réussite d’une activité difficile
- Une pensée d’Amour pour quelqu’un…
- Une surprise… car les petits bonheurs sont souvent simplement surprenants, surtout quand on n’a pas l’habitude de les voir !
- Une soirée entre amis
- Une promenade dans le calme
- Un moment seul où on n’a rien à faire d’autre que savourer ce moment
- Un «Merci !» de son patron, ou même un petit compliment
- Un retour d’impôts qu’on n’attendait pas
- Une invitation
- La réussite d’une activité difficile
- Une pensée d’Amour pour quelqu’un…
- Une surprise… car les petits bonheurs sont souvent simplement surprenants, surtout quand on n’a pas l’habitude de les voir !
A vous de jouer maintenant !
Je vous souhaite beaucoup de petits bonheurs !
Je vous souhaite beaucoup de petits bonheurs !
Dominique Jeanneret " Chemin de Vie
Dernière édition par jaja le Mar 29 Sep 2015, 07:11, édité 1 fois
jaja- Nombre de messages : 32553
Age : 77
Localisation : Liège Belgique
Votre signature : faut que ça aille...sans alcool Invité
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Petit coin littérature
PRENDS LE TEMPS....
Prends le temps de penser,
C’est a source du pouvoir.
Prends le temps de te distraire,
C’est le secret d’une perpétuelle jeunesse
Prends le temps de lire
C’est la fontaine de la sagesse.
Prends le temps d’aimer et d’être aimer,
C’est le privilège des dieux.
.
Prends le temps d’être aimable,
C’est le chemin du bonheur.
Prends le temps de rire,
C’est la musique de l’âme.
Prends le temps de te reposer,
Sans quoi tu ne pourras jamais jouir de rien.
Prends le temps de penser,
C’est a source du pouvoir.
Prends le temps de te distraire,
C’est le secret d’une perpétuelle jeunesse
Prends le temps de lire
C’est la fontaine de la sagesse.
Prends le temps d’aimer et d’être aimer,
C’est le privilège des dieux.
.
Prends le temps d’être aimable,
C’est le chemin du bonheur.
Prends le temps de rire,
C’est la musique de l’âme.
Prends le temps de te reposer,
Sans quoi tu ne pourras jamais jouir de rien.
Auteur inconnu….
merci Jaja d'avoir réouvert ce fil littérature,
bonne journée, MAYA
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
"Reconnaissance"
Pour le conjoint qui s'écrase devant la télé car il est à la
maison avec moi et non sorti dans un bar.
Pour la conjointe qui fait réchauffer des restants pour souper
parce qu'elle est à la maison avec moi et non avec quelqu'un
d'autre.
Pour les taxes que je paye, ce qui signifie que j'ai un emploi.
Pour le ménage à faire après un party, parce que ça signifie que
j'ai été entouré d'amis.
Pour les vêtements qui sont un peu serrés, cela signifie que j'ai
assez de nourriture pour manger.
Pour l'ombre qui me regarde travailler, cela signifie que je suis
dehors au soleil.
De tondre le gazon, de laver les fenêtres, de réparer le lavabo,
parce que cela signifie que! j'ai un toit.
Pour toutes les plaintes que j'entends à propos du gouvernement.
Cela signifie que l'on a la liberté d'expression.
Pour la place de stationnement que je trouve au bout du
stationnement, cela signifie que je suis capable de marcher et que
je suis chanceux d'avoir un moyen de transport.
Pour ma facture élevée de chauffage car cela signifie que je suis
au chaud.
D'entendre une personne se plaindre ou chanter faux, cela signifie
que je ne suis pas sourd.
Pour la pile de linge sale parce que cela signifie que j'ai du
linge à me mettre sur le dos.
Pour la fatigue, pour les muscles qui me font mal à la fin de la
journée, car cela signifie que je suis capable de travailler fort.
Pour mon réveil-matin qui me réveille à tous les matins car cela
signifie que je suis en vie.
Et finalement pour la tonne de courriels que je reçois, car cela signifie que j'ai des amis qui pensent à moi.
auteur inconnu......Pour le conjoint qui s'écrase devant la télé car il est à la
maison avec moi et non sorti dans un bar.
Pour la conjointe qui fait réchauffer des restants pour souper
parce qu'elle est à la maison avec moi et non avec quelqu'un
d'autre.
Pour les taxes que je paye, ce qui signifie que j'ai un emploi.
Pour le ménage à faire après un party, parce que ça signifie que
j'ai été entouré d'amis.
Pour les vêtements qui sont un peu serrés, cela signifie que j'ai
assez de nourriture pour manger.
Pour l'ombre qui me regarde travailler, cela signifie que je suis
dehors au soleil.
De tondre le gazon, de laver les fenêtres, de réparer le lavabo,
parce que cela signifie que! j'ai un toit.
Pour toutes les plaintes que j'entends à propos du gouvernement.
Cela signifie que l'on a la liberté d'expression.
Pour la place de stationnement que je trouve au bout du
stationnement, cela signifie que je suis capable de marcher et que
je suis chanceux d'avoir un moyen de transport.
Pour ma facture élevée de chauffage car cela signifie que je suis
au chaud.
D'entendre une personne se plaindre ou chanter faux, cela signifie
que je ne suis pas sourd.
Pour la pile de linge sale parce que cela signifie que j'ai du
linge à me mettre sur le dos.
Pour la fatigue, pour les muscles qui me font mal à la fin de la
journée, car cela signifie que je suis capable de travailler fort.
Pour mon réveil-matin qui me réveille à tous les matins car cela
signifie que je suis en vie.
Et finalement pour la tonne de courriels que je reçois, car cela signifie que j'ai des amis qui pensent à moi.
----------
Quand on y réfléchi bien :scratch: merci la Vie,
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Oui, Béatrice, merci à toi de concrétiser par ce texte l'adage du verre à moitié vide ou a moitié plein selon la tournure d'esprit. J'apprécie vraiment ce texte.
Nivelloise
Et, merci Jaja...nous n'avions donc pas eu la berlue;.."IL" avait bel & bien disparu!
Nivelloise
Et, merci Jaja...nous n'avions donc pas eu la berlue;.."IL" avait bel & bien disparu!
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
et c'est moi le grand responsable , méa culpa !
jaja- Nombre de messages : 32553
Age : 77
Localisation : Liège Belgique
Votre signature : faut que ça aille...sans alcool Invité
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Petit coin littérature
que celui qui n'a jamais fait d'erreur te jette la première pierre mon Jaja,
ce ne sera pas moi tu es tout pardonné
Béatrice.
ce ne sera pas moi tu es tout pardonné
Béatrice.
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
J'aime..;ça me touche...Alors, je partage cette RQ des OA pour ce 5 septembre.
Nivelloise
Qu'est ce que la dignité sans l'honnêteté? ( Cicéron)
Qui a dit que l'adulte qui joue au ballon avec les enfants du voisinage ou qui patine dans la rue manque de dignité? La dignité est une qualité que l'on développe en se défaisant de sa suffisance et de son arrogance. Lorsque je me présente au monde tel que je suis, cela me confère une dignité naturelle. La véritable dignité repose sur le respect de moi-même que m'inspire l'honnêteté, car en renonçant au mensonge, je renonce à la tentation de me voir mieux ou pire que je ne suis. M'accepter tel que me donne une dignité naturelle exempte de toute imposture. Cela ressemble à l'humilité à laquelle j'aspire un peu plus chaque jour.
Pensée du jour : Si je sens que je manque de dignité, je me demande dans quelle circonstance j'ai pu manquer d'honnêteté.
Nivelloise
Qu'est ce que la dignité sans l'honnêteté? ( Cicéron)
Qui a dit que l'adulte qui joue au ballon avec les enfants du voisinage ou qui patine dans la rue manque de dignité? La dignité est une qualité que l'on développe en se défaisant de sa suffisance et de son arrogance. Lorsque je me présente au monde tel que je suis, cela me confère une dignité naturelle. La véritable dignité repose sur le respect de moi-même que m'inspire l'honnêteté, car en renonçant au mensonge, je renonce à la tentation de me voir mieux ou pire que je ne suis. M'accepter tel que me donne une dignité naturelle exempte de toute imposture. Cela ressemble à l'humilité à laquelle j'aspire un peu plus chaque jour.
Pensée du jour : Si je sens que je manque de dignité, je me demande dans quelle circonstance j'ai pu manquer d'honnêteté.
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Un monde meilleur.
Il y a des moments dans la vie
où la présence du verre nous manque tellement
qu'on espère sans cesse sa présence.
fait-en le deuil une fois pour toute.
Rêve plutôt
à ce qui te ferait plaisir,
va où tu veux aller
sois où tu aimerais être
parce que tu as seulement une vie pour faire ce que tu veux
Que sur ton chemin tu trouves...
suffisamment de bonheur pour rester doux
suffisamment d'épreuves pour devenir force
suffisamment de peine pour rester humain
suffisamment d'espoir pour être heureux
Les personnes plus heureuses
n'ont pas nécessairement le meilleur de tout ;
simplement, elles exploitent au maximum
tout ce qui se trouve sur leur route
Le bonheur attend...
ceux qui pleurent, ceux qui souffrent,
ceux qui cherchent, ceux qui se dévouent,
ceux qui s'aiment...
parce que seules ces personnes peuvent apprécier l'importance de ces choses
qui laissent des traces dans la vie
Oublie le passé,
abandonne derrière toi tes erreurs et tes peines,
l'amour naît avec un sourire et grandit avec un baiser
Ce message est destiné à toutes les personnes qui signifient quelque chose pour moi
à celles qui ont marqué ma vie d'une façon ou d'une autre...
à celles qui m'ont fait sourire quand j'en avais le plus besoin...
à celles qui m'ont fait voir le bon côté des choses quand je voyais seulement le pire...
à toutes celles à qui je veux dire combien j'apprécie leurs amitiés
ou simplement... merci de m'avoir donné un aperçu d'un monde meilleur sans alcool.
Anonyme.
Il y a des moments dans la vie
où la présence du verre nous manque tellement
qu'on espère sans cesse sa présence.
fait-en le deuil une fois pour toute.
Rêve plutôt
à ce qui te ferait plaisir,
va où tu veux aller
sois où tu aimerais être
parce que tu as seulement une vie pour faire ce que tu veux
Que sur ton chemin tu trouves...
suffisamment de bonheur pour rester doux
suffisamment d'épreuves pour devenir force
suffisamment de peine pour rester humain
suffisamment d'espoir pour être heureux
Les personnes plus heureuses
n'ont pas nécessairement le meilleur de tout ;
simplement, elles exploitent au maximum
tout ce qui se trouve sur leur route
Le bonheur attend...
ceux qui pleurent, ceux qui souffrent,
ceux qui cherchent, ceux qui se dévouent,
ceux qui s'aiment...
parce que seules ces personnes peuvent apprécier l'importance de ces choses
qui laissent des traces dans la vie
Oublie le passé,
abandonne derrière toi tes erreurs et tes peines,
l'amour naît avec un sourire et grandit avec un baiser
Ce message est destiné à toutes les personnes qui signifient quelque chose pour moi
à celles qui ont marqué ma vie d'une façon ou d'une autre...
à celles qui m'ont fait sourire quand j'en avais le plus besoin...
à celles qui m'ont fait voir le bon côté des choses quand je voyais seulement le pire...
à toutes celles à qui je veux dire combien j'apprécie leurs amitiés
ou simplement... merci de m'avoir donné un aperçu d'un monde meilleur sans alcool.
Anonyme.
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Ce qui est important
« Je me sens triste ! » dit une vague de l'océan en constatant que les autres vagues étaient plus grandes qu'elle.
« Les vagues sont si grandes, si vigoureuses, et moi je suis si petite, si chétive. »
Une autre vague lui répondit :
« Ne sois pas triste.
Ton chagrin n'existe que parce que tu t'attaches à l'apparent, tu ne conçois pas ta véritable nature. »
« Ne suis-je donc pas une vague ? »
« La vague n'est qu'une manifestation transitoire de ta nature. En vérité tu es l'eau. »
« L'eau ? »
« Oui. Si tu comprends clairement que ta nature est l'eau,
tu n'accorderas plus d'importance à ta forme de vague et ton chagrin disparaîtra. »
Avoir à l'esprit que l'humanité fait partie d'un ensemble est important.
Car l'être humain se considère souvent comme le centre des choses en s'arrogeant des droits particuliers qui n'ont pas de raison d'être.
Ainsi il ne voit que chez son prochain ce qu'il n'a pas,
sans voir ce qu'il a déjà, et se cause les plus inutiles soucis.
« Je me sens triste ! » dit une vague de l'océan en constatant que les autres vagues étaient plus grandes qu'elle.
« Les vagues sont si grandes, si vigoureuses, et moi je suis si petite, si chétive. »
Une autre vague lui répondit :
« Ne sois pas triste.
Ton chagrin n'existe que parce que tu t'attaches à l'apparent, tu ne conçois pas ta véritable nature. »
« Ne suis-je donc pas une vague ? »
« La vague n'est qu'une manifestation transitoire de ta nature. En vérité tu es l'eau. »
« L'eau ? »
« Oui. Si tu comprends clairement que ta nature est l'eau,
tu n'accorderas plus d'importance à ta forme de vague et ton chagrin disparaîtra. »
Avoir à l'esprit que l'humanité fait partie d'un ensemble est important.
Car l'être humain se considère souvent comme le centre des choses en s'arrogeant des droits particuliers qui n'ont pas de raison d'être.
Ainsi il ne voit que chez son prochain ce qu'il n'a pas,
sans voir ce qu'il a déjà, et se cause les plus inutiles soucis.
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Cueille le temps
Tu ne peux pas retenir le temps.
Il passe.
Il coule entre tes doigts
comme l'eau de la fontaine.
Il glisse dans ta main
comme le sable de la mer.
Tu ne peux rattraper le passé.
Il n'est plus.
Il s'en est allé
comme le couchant d'hier.
Il est disparu
comme un souvenir perdu.
Tu ne peux emprisonner le futur.
Il n'est pas encore.
Il viendra à son heure
comme le levant de demain.
Il te rejoindra
comme la vague qui s'approche du rivage.
Mais tu peux toujours cueillir le présent
comme un beau présent de Dieu.
Ce présent est comme un grand arbre :
il plonge ses profondes racines.
Et il lance ses longues branches
vers ton futur tout plein
de promesse et d'espérance,
comme un projet emballant.
Le présent est fait
de ton passé qui n'est plus
et de ton futur qui n'est pas encore.
Prends le temps qui t'est donné
à chaque instant qui passe.
Cueille-le précieusement
comme l'eau du ruisseau
qui t'est toujours disponible.
Ne gaspille pas ton temps,
c'est un cadeau de Dieu.
Ne passe pas ton temps
à courir après le temps.
Prends ton temps.
Ne dis pas : je n'ai pas le temps.
Dis plutôt : j'ai tout mon temps.
Ne sois pas avare de ton temps.
Donne de ton temps aux autres
comme Dieu te le donne à toi.
Ne cours pas tout le temps,
prends ton temps.
Et laisse au temps
le temps
de faire son temps.
Alors, tu gagneras du temps.
Et tu découvriras
que c'est beau et bon le temps,
que c'est plein de Dieu dedans.
Tu ne peux pas retenir le temps.
Il passe.
Il coule entre tes doigts
comme l'eau de la fontaine.
Il glisse dans ta main
comme le sable de la mer.
Tu ne peux rattraper le passé.
Il n'est plus.
Il s'en est allé
comme le couchant d'hier.
Il est disparu
comme un souvenir perdu.
Tu ne peux emprisonner le futur.
Il n'est pas encore.
Il viendra à son heure
comme le levant de demain.
Il te rejoindra
comme la vague qui s'approche du rivage.
Mais tu peux toujours cueillir le présent
comme un beau présent de Dieu.
Ce présent est comme un grand arbre :
il plonge ses profondes racines.
Et il lance ses longues branches
vers ton futur tout plein
de promesse et d'espérance,
comme un projet emballant.
Le présent est fait
de ton passé qui n'est plus
et de ton futur qui n'est pas encore.
Prends le temps qui t'est donné
à chaque instant qui passe.
Cueille-le précieusement
comme l'eau du ruisseau
qui t'est toujours disponible.
Ne gaspille pas ton temps,
c'est un cadeau de Dieu.
Ne passe pas ton temps
à courir après le temps.
Prends ton temps.
Ne dis pas : je n'ai pas le temps.
Dis plutôt : j'ai tout mon temps.
Ne sois pas avare de ton temps.
Donne de ton temps aux autres
comme Dieu te le donne à toi.
Ne cours pas tout le temps,
prends ton temps.
Et laisse au temps
le temps
de faire son temps.
Alors, tu gagneras du temps.
Et tu découvriras
que c'est beau et bon le temps,
que c'est plein de Dieu dedans.
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Merci pour ces textes que je peux " cueillir" au gré de mes humeurs.
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Les oiseaux de malheur et les oiseaux de bonheur
Les hommes sont, les uns par rapport aux autres, comparables à des murs situés face à face. Chaque mur est percé d'une multitude de petits trous où nichent des oiseaux gris et des oiseaux multicolores. Les oiseaux gris, ce sont les mauvaises pensées et les paroles négatives. Les oiseaux multicolores, ce sont les bonnes pensées et les paroles positives.
Les oiseaux multicolores, en raison de leur forme, ne peuvent entrer que dans des trous d'oiseaux multicolores. Il en va de même pour les oiseaux gris qui ne peuvent nicher que dans des trous d'oiseaux gris.
Maintenant, imaginons deux hommes qui se croient ennemis l'un de l'autre. Appelons-les A et B.
Un jour, A, persuadé que B lui veut du mal, se sent rempli de colère à son égard et lui envoie une très mauvaise pensée. Ce faisant, il lâche un oiseau gris et, du même coup, libère un trou correspondant. Son oiseau gris s'envole vers B et cherche, pour y nicher, un trou vide adapté à sa forme. Si, de son côté, B n'a pas envoyé d'oiseau gris vers A, c'est-à-dire s'il n'a émis aucune pensée négative, aucun de ses trous gris ne sera vide. Ne trouvant pas où se loger, l'oiseau gris de A sera obligé de revenir vers son trou d'origine, ramenant avec lui le mal dont il était chargé, mal qui finira par ronger et détruire A lui-même.
Mais, imaginons que B a, lui aussi, émis une mauvaise pensée. Ce faisant, il a libéré un trou où l'oiseau gris de A pourra entrer afin d'y déposer une partie de son mal et y accomplir sa mission de destruction. Pendant ce temps, l'oiseau gris de B volera vers A et viendra loger dans le trou libéré par l'oiseau gris de ce dernier. Ainsi les deux oiseaux gris auront atteint leur but et travailleront à détruire l'homme auquel ils étaient destinés.
Mais une fois leur tâche accomplie, ils reviendront chacun à leur nid d'origine, car il est dit : "Toute chose retourne à sa source." Le mal dont ils étaient chargés n'étant pas épuisé, ce mal se retournera contre leurs auteurs et achèvera de les détruire. L'auteur d'une mauvaise pensée, d'un mauvais souhait ou d'une malédiction, est donc atteint à la fois par l'oiseau gris de son ennemi et par son propre oiseau gris, lorsque celui-ci revient vers lui.
La même chose se produit avec les oiseaux multicolores : si nous n'émettons que des bonnes pensées envers notre ennemi alors que celui-ci ne nous adresse que de mauvaises pensées, ses oiseaux gris ne trouveront pas de place où loger chez nous, et retourneront à leur expéditeur. Quant aux oiseaux multicolores porteurs des bonnes pensées que nous lui aurons envoyées, s'ils ne trouvent aucune place chez notre ennemi, ils nous reviendront chargés de toute l'énergie bénéfique dont ils étaient porteurs.
Ainsi, si nous n'émettons que de bonnes pensées, aucun mal, aucune malédiction ne pourront jamais nous atteindre dans notre être. C'est pourquoi il faut toujours bénir, et ses amis, et ses ennemis. Non seulement la bénédiction va vers son objectif pour accomplir sa mission d'apaisement, mais encore elle revient vers nous, un jour ou l'autre, avec tout le bien dont elle était chargée.
Les hommes sont, les uns par rapport aux autres, comparables à des murs situés face à face. Chaque mur est percé d'une multitude de petits trous où nichent des oiseaux gris et des oiseaux multicolores. Les oiseaux gris, ce sont les mauvaises pensées et les paroles négatives. Les oiseaux multicolores, ce sont les bonnes pensées et les paroles positives.
Les oiseaux multicolores, en raison de leur forme, ne peuvent entrer que dans des trous d'oiseaux multicolores. Il en va de même pour les oiseaux gris qui ne peuvent nicher que dans des trous d'oiseaux gris.
Maintenant, imaginons deux hommes qui se croient ennemis l'un de l'autre. Appelons-les A et B.
Un jour, A, persuadé que B lui veut du mal, se sent rempli de colère à son égard et lui envoie une très mauvaise pensée. Ce faisant, il lâche un oiseau gris et, du même coup, libère un trou correspondant. Son oiseau gris s'envole vers B et cherche, pour y nicher, un trou vide adapté à sa forme. Si, de son côté, B n'a pas envoyé d'oiseau gris vers A, c'est-à-dire s'il n'a émis aucune pensée négative, aucun de ses trous gris ne sera vide. Ne trouvant pas où se loger, l'oiseau gris de A sera obligé de revenir vers son trou d'origine, ramenant avec lui le mal dont il était chargé, mal qui finira par ronger et détruire A lui-même.
Mais, imaginons que B a, lui aussi, émis une mauvaise pensée. Ce faisant, il a libéré un trou où l'oiseau gris de A pourra entrer afin d'y déposer une partie de son mal et y accomplir sa mission de destruction. Pendant ce temps, l'oiseau gris de B volera vers A et viendra loger dans le trou libéré par l'oiseau gris de ce dernier. Ainsi les deux oiseaux gris auront atteint leur but et travailleront à détruire l'homme auquel ils étaient destinés.
Mais une fois leur tâche accomplie, ils reviendront chacun à leur nid d'origine, car il est dit : "Toute chose retourne à sa source." Le mal dont ils étaient chargés n'étant pas épuisé, ce mal se retournera contre leurs auteurs et achèvera de les détruire. L'auteur d'une mauvaise pensée, d'un mauvais souhait ou d'une malédiction, est donc atteint à la fois par l'oiseau gris de son ennemi et par son propre oiseau gris, lorsque celui-ci revient vers lui.
La même chose se produit avec les oiseaux multicolores : si nous n'émettons que des bonnes pensées envers notre ennemi alors que celui-ci ne nous adresse que de mauvaises pensées, ses oiseaux gris ne trouveront pas de place où loger chez nous, et retourneront à leur expéditeur. Quant aux oiseaux multicolores porteurs des bonnes pensées que nous lui aurons envoyées, s'ils ne trouvent aucune place chez notre ennemi, ils nous reviendront chargés de toute l'énergie bénéfique dont ils étaient porteurs.
Ainsi, si nous n'émettons que de bonnes pensées, aucun mal, aucune malédiction ne pourront jamais nous atteindre dans notre être. C'est pourquoi il faut toujours bénir, et ses amis, et ses ennemis. Non seulement la bénédiction va vers son objectif pour accomplir sa mission d'apaisement, mais encore elle revient vers nous, un jour ou l'autre, avec tout le bien dont elle était chargée.
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
merci d avoir remis cette page je reviendrais vous lire un soir d insomnie :rig:
la je suis trop claquer a ++
la je suis trop claquer a ++
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Le Bouddha d'or
A l'automne de 1988, les organisateurs d'un congrès de Hong Kong nous avaient invités, ma femme et moi, à y donner une conférence sur l'estime de soi et l'efficacité maximale. Comme c'était la première fois que nous allions en Extrême-Orient, nous avons décidé de prolonger notre voyage et d'aller visiter la Thaïlande.
En arrivant à Bangkok, nous avons décidé de faire la visite touristique des nombreux temples bouddhiques de la ville. Avec notre interprète et chauffeur, ma femme et moi avons vu plusieurs temples ce jour-là, mais j'avoue qu'après un certain temps, ils ont tous commencé à se brouiller dans notre mémoire.
Mais de tous ces temples, il y en a un qui a laissé dans notre esprit et dans notre coeur une impression indélébile. On l'appelle le Temple du Bouddha d'or. Le temple lui-même est très petit, il ne fait probablement pas plus de 10 mètres sur 10. Mais, dès qu'on y rentre, on est stupéfié à la vue d'un bouddha d'or massif mesurant plus de trois mètres. Il pèse plus de 5500 kilogrammes ! C'est tout un spectacle - ce bouddha d'or massif qui vous en impose par sa hauteur en même temps qu'il jette sur vous un sourire plein de bonté et de bienveillance.
Tout en m'acquittant de mes devoirs de touriste (photographier la statue sous tous ses angles en poussant des oh ! et des ah ! d'admiration), je me suis approché d'une vitrine où était exposé un morceau d'argile épais d'environ 20 centimètres et large de 30. A côté de la vitrine, un texte dactylographié retraçait l'histoire de cette magnifique oeuvre d'art.
En 1957, un groupe de moines s'était vu confier la tâche de transporter un bouddha d'argile de leur temple à un autre site. Leur monastère devait être déplacé pour permettre la construction d'une autoroute traversant Bangkok. Quand on entreprit de soulever l'idole géante à l'aide d'une grue, son poids était tellement élevé que la statue commença à craquer. De plus, il se mit à pleuvoir. Le moine supérieur, qui s'inquiétait des dommages que la pluie pourrait causer au bouddha sacré, décida de remettre la statue par terre et de la couvrir d'une large bâche pour la protéger.
Plus tard, ce soir là, le moine supérieur alla vérifier l'état du bouddha. Il alluma une lampe de poche et dirigea le faisceau sous la bâche pour voir si le bouddha était resté sec. Quand le faisceau atteignit l'endroit où la statue avait craqué, il vit un petit éclair jaillir sous l'argile et cela lui sembla étrange. En regardant de plus près ce trait de lumière, il lui vint à l'esprit que l'argile cachait peut-être quelque chose. Il alla chercher un ciseau et un marteau au monastère et se mit à fendre l'argile. Au fur et à mesure que tombaient les tessons d'argile, le petit trait de lumière devenait de plus en plus brillant. Plusieurs heures de travail passèrent avant que le moine ne se trouve face à face avec l'extraordinaire bouddha d'or massif.
Les historiens croient que plusieurs siècles avant la découverte du moine supérieur, tandis que l'armée birmane s'apprêtait à envahir la Thaïlande (qu'on appelait alors le Siam), les moines Siamois, conscients de l'imminence de l'attaque, couvrirent leur précieux bouddha d'une couche d'argile afin que leur trésor ne soit pas pillé par les Birmans. Malheureusement, il semble que les Birmans aient massacré tous les moines, et le secret bien gardé du bouddha d'or massif perdura jusqu'à ce jour fatidique de 1957.
Dans l'avion de la Cathay Airlines qui nous ramenait à la maison, je me suis mis à penser : "Nous sommes tous comme ce bouddha d'argile, couverts d'une carapace solide créée sous l'effet de la peur, et sous laquelle pourtant chacun de nous est un 'Bouddha doré', un 'Christ doré', une 'essence dorée', notre moi naturel. A l'instar du moine avec son marteau et son ciseau, notre travail consiste maintenant à redécouvrir notre véritable essence"
Jack Canfied.
A l'automne de 1988, les organisateurs d'un congrès de Hong Kong nous avaient invités, ma femme et moi, à y donner une conférence sur l'estime de soi et l'efficacité maximale. Comme c'était la première fois que nous allions en Extrême-Orient, nous avons décidé de prolonger notre voyage et d'aller visiter la Thaïlande.
En arrivant à Bangkok, nous avons décidé de faire la visite touristique des nombreux temples bouddhiques de la ville. Avec notre interprète et chauffeur, ma femme et moi avons vu plusieurs temples ce jour-là, mais j'avoue qu'après un certain temps, ils ont tous commencé à se brouiller dans notre mémoire.
Mais de tous ces temples, il y en a un qui a laissé dans notre esprit et dans notre coeur une impression indélébile. On l'appelle le Temple du Bouddha d'or. Le temple lui-même est très petit, il ne fait probablement pas plus de 10 mètres sur 10. Mais, dès qu'on y rentre, on est stupéfié à la vue d'un bouddha d'or massif mesurant plus de trois mètres. Il pèse plus de 5500 kilogrammes ! C'est tout un spectacle - ce bouddha d'or massif qui vous en impose par sa hauteur en même temps qu'il jette sur vous un sourire plein de bonté et de bienveillance.
Tout en m'acquittant de mes devoirs de touriste (photographier la statue sous tous ses angles en poussant des oh ! et des ah ! d'admiration), je me suis approché d'une vitrine où était exposé un morceau d'argile épais d'environ 20 centimètres et large de 30. A côté de la vitrine, un texte dactylographié retraçait l'histoire de cette magnifique oeuvre d'art.
En 1957, un groupe de moines s'était vu confier la tâche de transporter un bouddha d'argile de leur temple à un autre site. Leur monastère devait être déplacé pour permettre la construction d'une autoroute traversant Bangkok. Quand on entreprit de soulever l'idole géante à l'aide d'une grue, son poids était tellement élevé que la statue commença à craquer. De plus, il se mit à pleuvoir. Le moine supérieur, qui s'inquiétait des dommages que la pluie pourrait causer au bouddha sacré, décida de remettre la statue par terre et de la couvrir d'une large bâche pour la protéger.
Plus tard, ce soir là, le moine supérieur alla vérifier l'état du bouddha. Il alluma une lampe de poche et dirigea le faisceau sous la bâche pour voir si le bouddha était resté sec. Quand le faisceau atteignit l'endroit où la statue avait craqué, il vit un petit éclair jaillir sous l'argile et cela lui sembla étrange. En regardant de plus près ce trait de lumière, il lui vint à l'esprit que l'argile cachait peut-être quelque chose. Il alla chercher un ciseau et un marteau au monastère et se mit à fendre l'argile. Au fur et à mesure que tombaient les tessons d'argile, le petit trait de lumière devenait de plus en plus brillant. Plusieurs heures de travail passèrent avant que le moine ne se trouve face à face avec l'extraordinaire bouddha d'or massif.
Les historiens croient que plusieurs siècles avant la découverte du moine supérieur, tandis que l'armée birmane s'apprêtait à envahir la Thaïlande (qu'on appelait alors le Siam), les moines Siamois, conscients de l'imminence de l'attaque, couvrirent leur précieux bouddha d'une couche d'argile afin que leur trésor ne soit pas pillé par les Birmans. Malheureusement, il semble que les Birmans aient massacré tous les moines, et le secret bien gardé du bouddha d'or massif perdura jusqu'à ce jour fatidique de 1957.
Dans l'avion de la Cathay Airlines qui nous ramenait à la maison, je me suis mis à penser : "Nous sommes tous comme ce bouddha d'argile, couverts d'une carapace solide créée sous l'effet de la peur, et sous laquelle pourtant chacun de nous est un 'Bouddha doré', un 'Christ doré', une 'essence dorée', notre moi naturel. A l'instar du moine avec son marteau et son ciseau, notre travail consiste maintenant à redécouvrir notre véritable essence"
Jack Canfied.
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Mon fardeau
Le fardeau que je traîne est bien encombrant
j'ai trop mal à mes cicatrices, elles sont vraiment trop profondes
je me demande pourquoi ci, pourquoi ça, c'est comment ?
Pourquoi moi et pas les autres, pourquoi les autres et pas moi
J'ai du mal à m'accepter alors je me révolte, verve furibonde
un mot contrariant et j'agresse sans réfléchir, quel désarroi
je ne sais que faire, je n'aime pas ma vie, elle est nauséabonde
Pourquoi toujours chercher à plaire pour pouvoir exister
Pourquoi ne pas croire que l'on peut m'aimer sans conditions
J'ai beau dire que je m'en fous de ce que les autres peuvent penser
En vérité j'attends toujours en secret des approbations
Si je prends quelques instants de réflexion
je m'aperçois que la vie est comme un lycée technique
seule différence, on a la pratique suivie d'une leçon
au lieu d'une leçon suivie d'une pratique
Si je prends encore quelques instants pour réfléchir
je me rends compte que nous sommes tous égaux
seulement nous portons un masque pour ne pas trahir
l'être fragile que nous sommes et qui croit que l'autre est costaud
Avec mes pourquoi et comment, je réfléchis davantage
Et me dit que nul n'a son BEP, apprentis nous sommes encore
que je devrais être indulgent avec mon voisin, s'il n'est pas un sage
que l'on peut tomber puis se relever, c'est notre leçon de sport
C'est pas carnaval, laissons tomber nos déguisements
soyons nous mêmes, arrêtons les faux-semblants
commençons par dire que l'on s'aime, que l'on s'aime vraiment
que nous méritons l'amour que nous avons gagné en naissant
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Nous avons toujours le choix
[size=undefined]U[/size]n homme de 92 ans, petit, très fier, habillé et bien rasé tous les matins à 8h, avec ses cheveux parfaitement coiffés, malgré qu'il est légalement aveugle, déménage dans un foyer pour personnes âgées. Sa femme de 70 ans est décédée récemment, ce qui l'oblige à quitter sa maison. Après plusieurs heures d'attente, il sourit gentiment lorsqu'on lui dit que sa chambre est prête.
[size=undefined]C[/size]omme il se rendait jusqu'à l'ascenseur avec sa marchette, je lui fis une description visuelle de sa petite chambre, incluant le drap suspendu à sa fenêtre servant de rideau.
- Je l'aime beaucoup, dit-il avec l'enthousiasme d'un petit garçon de 8 ans qui vient d'avoir un nouveau petit chien.
- M. Gagné, vous n'avez pas encore vu la chambre, attendez un peu.
" [size=undefined]C[/size]ela n'a rien à voir, a-t-il répondu. Le bonheur est quelque chose que tu décides à l'avance. Que j'aime ma chambre ou pas ne dépend pas des meubles ou de la décoration, ça dépend plutôt de la façon dont moi je les perçois. C'est déjà décidé dans ma tête que j'aime ma chambre. C'est une décision que je prends tous les matins à mon réveil.
[size=undefined]J[/size]'ai le choix, je peux passer la journée au lit en comptant les difficultés que j'ai avec les parties de mon corps qui ne fonctionnent plus, ou me lever et remercier le ciel pour celles qui fonctionnent encore. Chaque jour est un cadeau, et aussi longtemps que je pourrai ouvrir mes yeux je m'intéresserai au nouveau jour et à tous les souvenirs heureux que j'ai amassé tout au long de ma vie.
[size=undefined]L[/size]a vieillesse est comme un compte en banque. Tu retires de ce que tu as amassé. Donc, mon conseil pour vous, serait de déposer beaucoup de bonheur dans votre compte en banque des souvenirs. Merci de votre participation à remplir mon compte en banque, car je dépose encore. "
[size=undefined]S[/size]ouvenez-vous de ces simples règles pour être heureux :
1. Libérez votre coeur de la haine,
2. Libérez votre tête des soucis,
3. Vivez simplement,
4. Donnez plus,
5. Attendez-vous à moins.
Anonyme
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Juste une heure
[size=undefined] Un homme arrive chez lui un soir fatigué après une dure journée de travail, pour trouver son petit garçon de 5 ans assis sur les marches du perron.
- Papa, est-ce que je peux te poser une question?
- Bien sûr!
- Combien gagnes-tu de l'heure?
- Mais, ça ne te regarde pas fiston!
- Je veux juste savoir. Je t'en prie, dis-le moi!
- Bon, si tu veux absolument savoir : $35.00 de l'heure.
- Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste.
Il revient vers son père et lui demande :
- Papa, pourrais-tu me prêter $10.00?
- Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir. Pour m'emprunter de l'argent! Va dans ta chambre et couche-toi. J'ai eu une journée éprouvante, je suis fatigué et je n'ai pas le goût de me faire achaler avec des niaiseries semblables.
Une heure plus tard, le père qui avait eu le temps de décompresser un peu se demande s'il n'avait pas réagit trop fort à la demande de son fils. Peut-être qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important. Il décide donc d'aller dans la chambre du petit :
- Dors-tu?
- Non, papa!
- Écoute, j'ai réfléchi et voici le $10.00 que tu m'as demandé. - Oh merci papa!
Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort $25.00. Le père en voyant l'argent devient encore tout irrité.
- Mais pourquoi tu voulais $10.00? Tu as déjà $25.00!
Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent?
- C'est que... il m'en manquait. Mais maintenant j'en ai juste assez. Papa, est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps? Demain soir, arrive à la maison plus tôt. J'aimerais souper avec toi!
Auteur inconnu[/size]
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Savoir placer ses cailloux !
Un jour, un vieux professeur de l'École Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.
Ce cours constituait l'un des 5 ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour «faire passer sa matière».
Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait lui enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit: «Nous allons réaliser une expérience».
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot de verre de plus de 4 litres qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda:
«Est-ce que ce pot est plein?».
Tous répondirent: «Oui».
Il attendit quelques secondes et ajouta: «Vraiment?».
Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et réitéra sa question:
«Est-ce que ce pot est plein?». Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.
L'un deux répondit: «Probablement pas !».
«Bien !» répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table un sac de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il redemanda: «Est-ce que ce pot est plein?».
Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent:
«Non!».
«Bien!» répondit le vieux prof.
Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda:
«Quelle grande vérité nous démontre cette expérience?»
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit: «Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".
«Non» répondit le vieux prof. «Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante»:
«Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite».
Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors: «Quels sont les gros cailloux dans votre vie?»
«Votre santé?»
«Votre famille?»
«Vos amis?»
«Réaliser vos rêves?»
«Faire ce que vous aimez?»
«Apprendre?»
«Défendre une cause?»
«Vous relaxer?»
«Prendre le temps de ...?»
«Ou... toute autre chose?»
«Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir ... sa vie. Si on donne la priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question:
«Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?»
Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)».
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et quitta lentement la salle.
Auteur inconnu
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Ce texte me parle beaucoup, je vous le partage, Béatrice |
Qui est coupable? Pour préserver sa sérénité et sa paix intérieure, il faut s'éloigner des personnes qui empoisonnent notre environnement. Bien sûr, ce n'est pas toujours facile de le faire mais au moins nous pouvons « prendre notre place » et garder nos énergies pour nous plutôt que de la laisser s'écouler comme la sève s'écoule de l'arbre blessé… Il faut s'aimer assez pour se tenir debout face à celui ou celle qui cherche à se valoriser mais en nous blessant! Il faut cesser de se complaire dans le rôle de « victime », relever la tête, s'ouvrir les yeux et AGIR! Il n'est jamais trop tard pour se donner à soi assez d'amour et ainsi vivre dans la plénitude. Je vois, j'entends, je parle avec encore trop de personnes qui subissent leur vie plutôt que de la vivre pleinement. Cela me fait toujours mal et je voudrais tant sarcler leur cœur et les aider à arracher les mauvaises herbes mais… chacun est responsable de son petit lopin de terre. Je peux aider en écoutant, en marchant quelques temps aux côtés de la personne. Je peux lui tendre les fleurs de l'amitié sincère. Je peux diriger vers elle des pensées lumineuses mais… elle doit elle-même faire l'inventaire de sa vie! Déjà, RECONNAÎTRE c'est une bonne chose. RÉAGIR est aussi une bonne façon de se réveiller mais AGIR est encore mieux! QUAND LES HOMMES VIVRONT D'AMOUR, IL Y AURA LA PAIX SUR LA TERRE! Vaut mieux parfois vivre seul(e) et surmonter ses peurs. Renouer avec soi-même et tourner la page vitement! Vaut mieux s'éloigner à grands pas de ces « personnes-éteignoirs »! Elles n'en valent pas la peine et comme la seule personne que je peux changer, C'EST MOI… bien, je n'ai qu'à le faire. Je peux demander de l'aide et me faire confiance! La Vie est bien trop courte pour la subir! Donc, si vous rencontrez de ces êtres « toxiques », prenez votre envol en toute vitesse. Que votre vie soit douce comme mousseline et jolie comme dentelle! LE CRITIQUEUR CHRONIQUE : Rien n'est jamais assez bon pour ce « perfectionniste ». Il veut toujours avoir raison à tout prix. La meilleure tactique pour le désamorcer est de souligner les vraies raisons de son irritation. L'ADVERSAIRE : Cette personne veut absolument être la première en tout et cherche continuellement à se montrer plus maligne que vous. C'est un manque flagrant d'estime de soi. Demandez-lui calmement si ça lui fait du bien de l'emporter sur tout et pourquoi. LA DIARRHÉE VERBALE : Il impose un flux de paroles presque toujours inutiles et des récits interminables malgré votre air ennuyé. Il a besoin de se sentir important. Dites-lui que vous l'appréciez mais que parfois, il parle trop. LE PUNCHING BAG ÉMOTIF : Quelque chose ne va pas? Il cherche immédiatement quelqu'un à blâmer. Il a un sérieux problème avec ses émotions et se défoule constamment sur son (sa) conjoint(e) ou sur la personne qui habite à ses côtés. Incapable de prendre ses responsabilités, il accuse toujours les autres et les affuble de tous les torts. Lui, il est PARFAIT! Si vous avez envie de lui servir de « punching bag » émotif, c'est le partenaire idéal. LE PORC-ÉPIC : Il lance des pics. Il a souvent recours à une forme d'humour très sarcastique. Il est incapable d'être vrai et cache ses sentiments, ses émotions sous un aspect caustique. Il est préférable de l'affronter, de lui dire que vous n'avez pas à subir son comportement et ses sarcasmes. L'EMMERDEUR PUBLIC : C'est une commère souffrant d'indiscrétion aiguë. Cette personne vit pour semer la zizanie. L'emmerdeur public a également besoin de se sentir important. Interrogez-le sur ses paroles ou ses actions pour éviter de vous faire manipuler. LA CERVELLE D'OISEAU : Il a toujours les pieds dans les plats. Il dit tout ce qui lui passe par la tête sans considération pour vos sentiments. Respirez par le nez et dites-lui que son comportement est blessant et inacceptable. LA VEDETTE : Il se regarde constamment le nombril, ne parlant que de lui-même. Il est inquiet et craint le rejet. Tentez de le désamorcer, faites preuve de patience et fuyez si ça ne s'arrange pas. LE COURANT D'AIR : Ce type de personne prend ses jambes à son cou quand une situation stressante se présente. Il est allergique à l'engagement. Il a toujours peur de déplaire et de ne pas être à la hauteur. Il préfère fuir. Si vous arrivez à le coincer, utilisez la technique de l'affrontement. LE COUTEAU DANS LE DOS : Il utilise vos propres confidences contre vous. Caméléon changeant constamment de discours. Il éprouve du ressentiment à votre égard, mais n'a pas le courage d'y faire face. Faites-lui savoir franchement que vous êtes conscient de son hypocrisie. LE TÉTEUX : C'est un éternel quémandeur. Il s'intéresse à vous quand ça lui convient. Il ferait n'importe quoi pour réussir, car son estime de lui-même est un jeu. Faites-lui savoir que vous vous sentez exploité. LE COUPABLE : Et si le ou la coupable, c'était vous-même? Quand quelque chose ne va pas et qu'on veut trouver le ou la coupable, pourquoi ne pas aller se regarder dans un miroir? Car peu importe la problématique, QUI a choisi de vivre dans cette situation pour AUJOURD'HUI? Tiré du livre Un homme, ça ne pleure pas |
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
DEUX MAINS DANS NOS MAINS...
Deux mains dans nos mains
L’horizon n’aura jamais de fin
Dans ma nuit vos yeux m’éclairent
L’ombre n’est rien sans lumière
Tous ces gestes quotidiens
Grandiront ma vision du chemin
Même vous prendre dans mes bras
Quand l’ignorant pense tout bas
Tous les jours la vie à besoin de vivre
Votre histoire et la mienne aussi
Tous les jours l’Amour a besoin d’amour
Sans différence et sans contre jour
L’espoir dans nos mains
Sera comme une fête sans fin
Plus jamais froid dans nos cœurs
Que des larmes de bonheur
L’indifférence ne donne rien
Que des nuits solitaires et sans fin
Echangeons nos rêves, nos étoiles
Que le ciel souffle dans nos voiles
Tous les jours la vie à besoin de vivre
Votre histoire et la mienne aussi
Tous les jours l’Amour a besoin d’amour
Sans différence et sans contre jour.
re écrit pour partage avec les AA, aussi pour pensée, à ma fille et à mon fils.
Joël.
Deux mains dans nos mains
L’horizon n’aura jamais de fin
Dans ma nuit vos yeux m’éclairent
L’ombre n’est rien sans lumière
Tous ces gestes quotidiens
Grandiront ma vision du chemin
Même vous prendre dans mes bras
Quand l’ignorant pense tout bas
Tous les jours la vie à besoin de vivre
Votre histoire et la mienne aussi
Tous les jours l’Amour a besoin d’amour
Sans différence et sans contre jour
L’espoir dans nos mains
Sera comme une fête sans fin
Plus jamais froid dans nos cœurs
Que des larmes de bonheur
L’indifférence ne donne rien
Que des nuits solitaires et sans fin
Echangeons nos rêves, nos étoiles
Que le ciel souffle dans nos voiles
Tous les jours la vie à besoin de vivre
Votre histoire et la mienne aussi
Tous les jours l’Amour a besoin d’amour
Sans différence et sans contre jour.
re écrit pour partage avec les AA, aussi pour pensée, à ma fille et à mon fils.
Joël.
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
J'ai envie de partager avec vous un extrait du Petit Prince
- Que fais-tu là ? dit-il au buveur, qu'il trouva installé en silence devant une collection de bouteilles vides et une collection de bouteilles pleines.
- Je bois, répondit le buveur, d'un air lugubre.
- Pourquoi bois-tu ? Lui demanda le petit prince.
- Pour oublier, répondit le buveur.
- Pour oublier quoi ? S'enquit le petit prince qui déjà le plaignait.
- Pour oublier que j'ai honte, avoua le buveur en baissant la tête.
- Honte de quoi ? S'informa le petit prince qui désirait le secourir.
- Honte de boire ! Acheva le buveur qui s'enferma définitivement dans le silence.
Et le petit prince s'en fut, perplexe.
"Les grandes personnes sont décidément très très bizarres", se disait-il en lui-même durant le voyage.
- Que fais-tu là ? dit-il au buveur, qu'il trouva installé en silence devant une collection de bouteilles vides et une collection de bouteilles pleines.
- Je bois, répondit le buveur, d'un air lugubre.
- Pourquoi bois-tu ? Lui demanda le petit prince.
- Pour oublier, répondit le buveur.
- Pour oublier quoi ? S'enquit le petit prince qui déjà le plaignait.
- Pour oublier que j'ai honte, avoua le buveur en baissant la tête.
- Honte de quoi ? S'informa le petit prince qui désirait le secourir.
- Honte de boire ! Acheva le buveur qui s'enferma définitivement dans le silence.
Et le petit prince s'en fut, perplexe.
"Les grandes personnes sont décidément très très bizarres", se disait-il en lui-même durant le voyage.
Invité- Invité
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