Petit coin littérature
+44
Lilite
Cécile
Bertrand
Chapeau
Tigrou
Fernando
Francis Bruxelles
Enitram
Philippe
lucas34
Delph12
Piracantha
Natach
bnou
Anne
gillou34
Nenufare
Hobi
Fabrice
Séverine
Olivier 54150
lola
Gareline
MetM
Pierrot
dania
Myriam
babou58
Pierre
mickael
jacqueline36
Kuya Juju
juanito
Suzanne
Mapie
nadine05
Lucia
capucine430
Cath
pascal-17
Marine
GEGE
Laude
jaja
48 participants
Page 2 sur 32
Page 2 sur 32 • 1, 2, 3 ... 17 ... 32
Re: Petit coin littérature
Merci Corinne pour l'extrait du Petit Prince , ce texte me parle énormément .
Laude
Laude
Laude- Nombre de messages : 6448
Age : 76
Localisation : Angleur / Belgique
Votre signature : Vivre le moment présent
Date d'inscription : 08/11/2010
Re: Petit coin littérature
Je suis en train de lire vivre sans alcool. Une mine de conseils que j'avais lu en travers au lieu de le lire tranquillement en prenant des notes. Une nouvelle belle découverte même avec la tête dans les choux
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Oui tu as totalement raison avec le gros livre je me rends compte que c'est le plus important. Je vais en abuser
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
pour ma personne je m apercois que ces souvent la fatigue la faim le mauvais entourage ect le gros livre aussi bien sur j ai pas le meme reflexe que sur le vivre sobre :coeur drapeau:
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Je l'ai aussi en livre de poche c'est moins lourd dans mon sac
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
ah oui moi aussi mais je prend pas toute la bibliotheque avec moi :hah:
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
C’était un petit bonheur
Que j’avais ramassé
Il était tout en pleurs
Sur le bord d’un fossé
Quand il m’a vu passer
Il s’est mis à crier:
"Monsieur, ramassez-moi
Chez vous amenez-moi".
Mes frères m’ont oublié, je suis tombé, je suis malade
Si vous n’me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade !
Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure
Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture".
J’ai pris le p’tit bonheur
L’ai mis sous mes haillons
J’ai dit: " Faut pas qu’il meure,
Viens-t’en dans ma maison".
Alors le p’tit bonheur
A fait sa guérison
Sur le bord de mon coeur
Y avait une chanson.
Mes jours, mes nuits, mes peines, mes deuils, mon mal, tout fut oublié;
Ma vie de désoeuvré, j’avais dégoût d’la r’commencer,
Quand il pleuvait dehors ou qu’mes amis m’faisaient des peines,
J’prenais mon p’tit bonheur et j’lui disais: "C’est toi ma reine".
3.Mon bonheur a fleuri,
Il a fait des bourgeons.
C’était le paradis,
Ça s’voyait sur mon front.
Or un matin joli
Que j’sifflais ce refrain,
Mon bonheur est parti
Sans me donner la main.
J’eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes,
Lui montrer le grand trou qu’il me faisait au fond du coeur,
Il s’en allait toujours, la tête haute, sans joie, sans haine,
Comme s’il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure.
4.
J’ai bien pensé mourir
De chagrin et d’ennui,
J’avais cessé de rire
C’était toujours la nuit.
Il me restait l’oubli,
Il me restait l’mépris,
Enfin que j’me suis dit:
"Il me reste la vie".
J’ai repris mon bâton, mes deuils, mes peines et mes guenilles,
Et je bats la semelle dans des pays de malheureux.
Aujourd’hui quand je vois une fontaine ou une fille,
Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux...(Bis).
felix leclerc
Que j’avais ramassé
Il était tout en pleurs
Sur le bord d’un fossé
Quand il m’a vu passer
Il s’est mis à crier:
"Monsieur, ramassez-moi
Chez vous amenez-moi".
Mes frères m’ont oublié, je suis tombé, je suis malade
Si vous n’me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade !
Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure
Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture".
J’ai pris le p’tit bonheur
L’ai mis sous mes haillons
J’ai dit: " Faut pas qu’il meure,
Viens-t’en dans ma maison".
Alors le p’tit bonheur
A fait sa guérison
Sur le bord de mon coeur
Y avait une chanson.
Mes jours, mes nuits, mes peines, mes deuils, mon mal, tout fut oublié;
Ma vie de désoeuvré, j’avais dégoût d’la r’commencer,
Quand il pleuvait dehors ou qu’mes amis m’faisaient des peines,
J’prenais mon p’tit bonheur et j’lui disais: "C’est toi ma reine".
3.Mon bonheur a fleuri,
Il a fait des bourgeons.
C’était le paradis,
Ça s’voyait sur mon front.
Or un matin joli
Que j’sifflais ce refrain,
Mon bonheur est parti
Sans me donner la main.
J’eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes,
Lui montrer le grand trou qu’il me faisait au fond du coeur,
Il s’en allait toujours, la tête haute, sans joie, sans haine,
Comme s’il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure.
4.
J’ai bien pensé mourir
De chagrin et d’ennui,
J’avais cessé de rire
C’était toujours la nuit.
Il me restait l’oubli,
Il me restait l’mépris,
Enfin que j’me suis dit:
"Il me reste la vie".
J’ai repris mon bâton, mes deuils, mes peines et mes guenilles,
Et je bats la semelle dans des pays de malheureux.
Aujourd’hui quand je vois une fontaine ou une fille,
Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux...(Bis).
felix leclerc
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Aujourd'hui 3 octobre, sur le fil du jour ou , en tous cas, dans " café après réunion" , s'expriment pas mal de difficultés.
Les OA, travaillant sur base du même programme en douze étapes que celui des AA m'envoient le message suivant, que je transmets .
A prendre ou à laisser, comme tout ce qui s'écrit ici...
Nivelloise
Le 3 octobre
Si nous sommes incapables de trouver la tranquillité en nous-mêmes, il ne sert à rien de la chercher ailleurs. ( François de La Rochefoucauld )
Il y a certainement quelque chose ou quelqu'un qui puisse régler mon problème . Un brin de ceci, une touche de cela, ou une autre recette-miracle : rencontrer de nouvelles personnes, aller dans un endroit inconnu, me fixer un nouvel objectif : » Pouvez-vous m'aider? » . La question, posée des milliers de fois sous les formes les plus diverses, reste sans réponse définitive. Le sage dira: » je t'aiderais si je le pouvais, mais, à mon avis, c'est en toi que se trouve la difficulté « ; Non, cela n'a rien à voir avec le temps qu'il fait, le chien, la maison, les voisins, mon travail, ma femme, mon mari, le chômage ou la solitude; le problème est en moi. Aucune circonstance extérieure n'y peut rien changer. Lorsque je en suis pas en paix avec moi-même, je m'en prends à tout ce qui m'entoure. Au contraire, lorsque je me sens bien, j'accepte toutes les circonstances extérieures qui façonnent ma vie .
Pensée du jour: Je me regarde avec la plus rigoureuse honnêteté pour découvrir ce qui explique que je me sente bien ou mal
Les OA, travaillant sur base du même programme en douze étapes que celui des AA m'envoient le message suivant, que je transmets .
A prendre ou à laisser, comme tout ce qui s'écrit ici...
Nivelloise
Le 3 octobre
Si nous sommes incapables de trouver la tranquillité en nous-mêmes, il ne sert à rien de la chercher ailleurs. ( François de La Rochefoucauld )
Il y a certainement quelque chose ou quelqu'un qui puisse régler mon problème . Un brin de ceci, une touche de cela, ou une autre recette-miracle : rencontrer de nouvelles personnes, aller dans un endroit inconnu, me fixer un nouvel objectif : » Pouvez-vous m'aider? » . La question, posée des milliers de fois sous les formes les plus diverses, reste sans réponse définitive. Le sage dira: » je t'aiderais si je le pouvais, mais, à mon avis, c'est en toi que se trouve la difficulté « ; Non, cela n'a rien à voir avec le temps qu'il fait, le chien, la maison, les voisins, mon travail, ma femme, mon mari, le chômage ou la solitude; le problème est en moi. Aucune circonstance extérieure n'y peut rien changer. Lorsque je en suis pas en paix avec moi-même, je m'en prends à tout ce qui m'entoure. Au contraire, lorsque je me sens bien, j'accepte toutes les circonstances extérieures qui façonnent ma vie .
Pensée du jour: Je me regarde avec la plus rigoureuse honnêteté pour découvrir ce qui explique que je me sente bien ou mal
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Bien dans sa peau
Paraît que pour être au plus haut
faut se sentir bien dans sa peau.
Si donc nous nous y sentons mal
ça peut nous bouffer le moral
et c’est porte ouverte aux dégâts…
Aussi soyons de notre temps
car qui voudrait tels embarras ?
Solutionnons en nous soignant.
Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…
*
Paraît que pour s’épanouir
avant tout faut se définir.
S’adore-t-on ? Quand ? Et comment ?
Se déteste-t-on mêmement ?
Si c’était les deux à la fois
(car connaît-on ce qu’on engrange ?)
faut en situer les pourquoi
et clarifier un tel mélange.
Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…
*
Paraît que pour être serein
faut pas jouer au p’tit malin.
N’hésitons pas à exposer
ce qui en nous fut enterré
dans les entrailles du non-dit
depuis peu, ou des décennies,
et qui pourtant respire encore
causant en nous le plus grand tort.
Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…
*
Paraît que pour tourner le dos
aux dépressions et autres maux,
faut réparer là où ça craque.
Si vous pensez : “J’en ai ma claque.
Je me croyais hier un génie
et moins qu’une merde aujourd’hui”,
pour vous sortir de ce micmac
au plus tôt videz votre sac.
Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…
*
Paraît que pour s’équilibrer,
en soi autant qu’en société,
les procédés courent les rues.
Y’a qu’à mettre son âme à nu
et décortiquer sa substance.
L’implication de mille traits
s’entremêlant en permanence
ne devrait pas vous affoler…
Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout… ?
Esther Granek, Synthèses, 2009
Paraît que pour être au plus haut
faut se sentir bien dans sa peau.
Si donc nous nous y sentons mal
ça peut nous bouffer le moral
et c’est porte ouverte aux dégâts…
Aussi soyons de notre temps
car qui voudrait tels embarras ?
Solutionnons en nous soignant.
Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…
*
Paraît que pour s’épanouir
avant tout faut se définir.
S’adore-t-on ? Quand ? Et comment ?
Se déteste-t-on mêmement ?
Si c’était les deux à la fois
(car connaît-on ce qu’on engrange ?)
faut en situer les pourquoi
et clarifier un tel mélange.
Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…
*
Paraît que pour être serein
faut pas jouer au p’tit malin.
N’hésitons pas à exposer
ce qui en nous fut enterré
dans les entrailles du non-dit
depuis peu, ou des décennies,
et qui pourtant respire encore
causant en nous le plus grand tort.
Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…
*
Paraît que pour tourner le dos
aux dépressions et autres maux,
faut réparer là où ça craque.
Si vous pensez : “J’en ai ma claque.
Je me croyais hier un génie
et moins qu’une merde aujourd’hui”,
pour vous sortir de ce micmac
au plus tôt videz votre sac.
Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…
*
Paraît que pour s’équilibrer,
en soi autant qu’en société,
les procédés courent les rues.
Y’a qu’à mettre son âme à nu
et décortiquer sa substance.
L’implication de mille traits
s’entremêlant en permanence
ne devrait pas vous affoler…
Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout… ?
Esther Granek, Synthèses, 2009
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
RAPPEL QUOTIDIEN - 6
Confus et affaiblis par notre manière compulsive de boire, nous nous attendions à ce qu'A.A. nous "guérisse" du jour au lendemain. Nous avons appris que l'alcoolisme ne peut être guéri mais que ses effets peuvent être arrêtés. Nous avons appris que la sobriété heureuse est le résultat des nouvelles habitudes quotidiennes que nous acquérons pendant les secondes, les minutes et les heures que nous vivons tout simplement dans A.A.
INVENTAIRE QUOTIDIEN
Pourquoi un changement de personnalité est-il nécessaire à notre rétablissement ?
Pouvons-nous nous rétablir de l'alcoolisme du jour au lendemain ?
L'étude de nos livres A.A. améliorera-t-elle notre façon de penser ?
MEDITATION SUGGEREE
Le succès dans A.A. est proportionnel aux habitudes que nous formons et que nous pratiquons à partir des douze Etapes. La façon de penser alcoolique nous maintient en état de révolte et d'esclavage. La malhonnêteté et les réserves mentales précèdent l'échec. La peur d'une vie sans alcool est un désir subconscient de contrôler notre consommation de boisson. Notre liberté repose dans l'admission de ces faits et dans l'abandon de nos défauts à "DIEU tel que nous Le comprenons". Notre compréhension commence avec l'abandon.
CONTACT SPIRITUEL
Notre Père, ouvre nos intelligences aux vérités d'A.A.
Libère-nous de nos vieilles habitudes et remplis-nous du désir de créer de nouvelles habitudes spirituelles selon A.A.
EXAMEN PHYSIQUE QUOTIDIEN
L'importance d'une bonne santé physique comme pré requis au rétablissement de l'alcoolisme ne devrait pas être ignorée. Le fait qu'un membre est assez bien pour sortir du lit n'implique pas qu'il est assez fort et vigoureux ou indemne de toute maladie. Trop de nos membres deviennent victimes d'une mort prématurée parce qu'ils refusent de soigner leurs corps endommagés et continuent à puiser à même leurs réserves d'énergie presque épuisées par leur excès alcooliques."
extrait de "tabourets et bouteilles", pages 106 et 107
INVENTAIRE QUOTIDIEN
Pourquoi un changement de personnalité est-il nécessaire à notre rétablissement ?
Pouvons-nous nous rétablir de l'alcoolisme du jour au lendemain ?
L'étude de nos livres A.A. améliorera-t-elle notre façon de penser ?
MEDITATION SUGGEREE
Le succès dans A.A. est proportionnel aux habitudes que nous formons et que nous pratiquons à partir des douze Etapes. La façon de penser alcoolique nous maintient en état de révolte et d'esclavage. La malhonnêteté et les réserves mentales précèdent l'échec. La peur d'une vie sans alcool est un désir subconscient de contrôler notre consommation de boisson. Notre liberté repose dans l'admission de ces faits et dans l'abandon de nos défauts à "DIEU tel que nous Le comprenons". Notre compréhension commence avec l'abandon.
CONTACT SPIRITUEL
Notre Père, ouvre nos intelligences aux vérités d'A.A.
Libère-nous de nos vieilles habitudes et remplis-nous du désir de créer de nouvelles habitudes spirituelles selon A.A.
EXAMEN PHYSIQUE QUOTIDIEN
L'importance d'une bonne santé physique comme pré requis au rétablissement de l'alcoolisme ne devrait pas être ignorée. Le fait qu'un membre est assez bien pour sortir du lit n'implique pas qu'il est assez fort et vigoureux ou indemne de toute maladie. Trop de nos membres deviennent victimes d'une mort prématurée parce qu'ils refusent de soigner leurs corps endommagés et continuent à puiser à même leurs réserves d'énergie presque épuisées par leur excès alcooliques."
extrait de "tabourets et bouteilles", pages 106 et 107
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
ah ben tu est la! coco! ces bien de te revoir a ++
Dernière édition par lucas34 le Mar 07 Oct 2014, 08:57, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
- le programme pour l arret du tabac ressemble bien a celui des AA IL PEUT SERVIR A TOUT AUTRE CHOSE
- Manger calmement à heure fixe.
- Dormir suffisamment.
- Éviter l’alcool.
- Diminuer ma consommation de café.
- Apprendre à dire « non » gentiment.
- Se reposer quand on est fatigué(e).
- Accepter de ne pas pouvoir tout faire.
- Déléguer certaines tâches à d’autres personnes.
- Faire un exercice de relaxation chaque jour.
- Se féliciter des choses accomplies.
- Relativiser une remarque désagréable.
- Mettre une limite aux corvées journalières.
- Se réserver des moments de calme chaque jour, sans dérangement ni interruption.
- Faire une liste des choses à réaliser dans la journée et se féliciter après chaque tâche réalisée.
- Faire attention à ne pas être trop perfectionniste.
- Faire des pauses de temps en temps.
Dernière édition par lucas34 le Mar 07 Oct 2014, 08:56, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
RAPPEL QUOTIDIEN - 7
Nous ne pouvons trop appuyer sur l'importance d'admettre "notre impuissance devant l'alcool" ou que "nous avions perdu la maîtrise de notre vie" comme résultat de notre dépendance envers l'alcool. La sobriété durable nécessite cette admission. Nous devrions attribuer notre condition à l'alcoolisme (une maladie) plutôt qu'au manque de volonté.
INVENTAIRE QUOTIDIEN
Pourquoi devons-nous admettre notre alcoolisme ?
Est-ce simplement un alibi pour boire ?
Si nous devons rester sobres dans A.A. pourquoi ne pouvons-nous pas le faire par notre force de volonté ?
MEDITATION SUGGEREE
A.A. commence à fonctionner dès l'instant où nous admettons notre alcoolisme et où nous demandons de l'aide pour le traiter. L'admission de notre besoin d'assistance raffermit les forces puissantes d'honnêteté et d'humilité en nous-mêmes. Ce sont les rudiments de notre rétablissement. Nous n'avons aucun besoin d'excuses . L'alcoolisme est une maladie qui s'attaque à notre corps et à notre intelligence. Nous devrions demander à Dieu de faire disparaître notre maladie spirituelle. Nous traitons nos corps par des soins médicaux et non par notre force de volonté.
CONTACT SPIRITUEL
Notre Père, nous admettons notre alcoolisme. Aide-nous à nous en rétablir. Nous désirons collaborer avec Toi. Enseigne-nous comment reconstruire physiquement et moralement nos vies.
EXAMEN PHYSIQUE QUOTIDIEN
Tous les membres A.A. devraient probablement être examinés par un médecin compétent pour déterminer l'état de leur foie. Beaucoup ont un foie engorgé de graisse et quelques-uns souffrent d'un commencement de cirrhose. La plupart d'entre nous n'ont pas cette maladie. Nous devrions cependant connaître notre état de santé et recevoir les soins médicaux requis. Découvertes assez tôt, ces maladies peuvent être traitées avec succès.
extrait de "Tabourets et bouteilles", pages 108 et 109
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
SALUT ET MOI J Y PASSE TLJ DEVANT :rig: POURQUOI TU A COMMENCE PAR LE 6,,,???
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Hier ? Parce qu'on était le 6 lol et aujourd'hui le 7 parce que l'on est le .......
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
alors aujourd hui je commence un livre a la page6 :scratch: :scratch: :scratch: :scratch:
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
RAPPEL QUOTIDIEN - 8
Il y a sûrement quelque chose de déraisonnable dans l'alcoolisme --- non seulement dans le fait de prendre ce premier verre, mais aussi dans les cuites ininterrompues qui s'en suivent. Ayant échoué dans nos efforts pour arrêter de boire par notre volonté personnelle, nous avons atteint la limite des ressources humaines. A.A. suggère de remettre notre comportement insensé aux soins d'une Puissance Supérieure.
INVENTAIRE QUOTIDIEN
Y a-t-il une part de maladie mentale dans notre alcoolisme ?
Sommes-nous impuissants devant lui ?
Comment pouvons-nous le surmonter ?
L'aide doit-elle nous venir d'une Puissance supérieure ?
MEDITATION SUGGEREE
Lorsque nous pensons à l'insanité de l'alcoolisme nous devons envisager le fait que, malgré nos plus honnêtes résolutions et nos meilleures intentions, nous finissions toujours par nous soûler. Peu de personnes ont réussi à nous égaler en stupidité et en illusions. Nous expliquions nos erreurs mais nous refusions d'en tirer profit. Remplis de boisson et d'idées farfelues, nous étions dépourvus de l'instinct de conservation que seul Dieu peut accorder à un buveur alcoolique.
CONTACT SPIRITUEL
Notre Père, fais-nous constater la "démence" de notre façon de boire.
Donne-nous la foi dans Ta capacité de rétablir en nous l'instinct de conservation.
EXAMEN PHYSIQUE QUOTIDIEN
A.A. nous dit que nous sommes malades physiquement et psychologiquement : "Selon notre conviction ... toute analyse qui laisse de côté cet aspect physique est incomplète". La santé physique aide la sobriété. Ne la négligeons pas. La prudence peut nous sauver de l'expérience malheureuse d'une rechute. Elle peut faire découvrir à temps la présence de la maladie et permettre d'obtenir des soins préventifs.
extrait de "Tabourets et bouteilles", pages 110 et 111
Il y a sûrement quelque chose de déraisonnable dans l'alcoolisme --- non seulement dans le fait de prendre ce premier verre, mais aussi dans les cuites ininterrompues qui s'en suivent. Ayant échoué dans nos efforts pour arrêter de boire par notre volonté personnelle, nous avons atteint la limite des ressources humaines. A.A. suggère de remettre notre comportement insensé aux soins d'une Puissance Supérieure.
INVENTAIRE QUOTIDIEN
Y a-t-il une part de maladie mentale dans notre alcoolisme ?
Sommes-nous impuissants devant lui ?
Comment pouvons-nous le surmonter ?
L'aide doit-elle nous venir d'une Puissance supérieure ?
MEDITATION SUGGEREE
Lorsque nous pensons à l'insanité de l'alcoolisme nous devons envisager le fait que, malgré nos plus honnêtes résolutions et nos meilleures intentions, nous finissions toujours par nous soûler. Peu de personnes ont réussi à nous égaler en stupidité et en illusions. Nous expliquions nos erreurs mais nous refusions d'en tirer profit. Remplis de boisson et d'idées farfelues, nous étions dépourvus de l'instinct de conservation que seul Dieu peut accorder à un buveur alcoolique.
CONTACT SPIRITUEL
Notre Père, fais-nous constater la "démence" de notre façon de boire.
Donne-nous la foi dans Ta capacité de rétablir en nous l'instinct de conservation.
EXAMEN PHYSIQUE QUOTIDIEN
A.A. nous dit que nous sommes malades physiquement et psychologiquement : "Selon notre conviction ... toute analyse qui laisse de côté cet aspect physique est incomplète". La santé physique aide la sobriété. Ne la négligeons pas. La prudence peut nous sauver de l'expérience malheureuse d'une rechute. Elle peut faire découvrir à temps la présence de la maladie et permettre d'obtenir des soins préventifs.
extrait de "Tabourets et bouteilles", pages 110 et 111
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
PPEL
1
Menu
1er RAPPEL QUOTIDIEN
Soyons honnêtes aujourd'hui. Faisons face à la réalité. L'alcool est un breuvage pour la plupart des gens, mais une drogue pour les alcooliques. Notre usage immodéré de ce "narcotique" nous a rendus malades dans notre corps, notre esprit et notre âme. Nous sommes à toute fin pratique impuissants devant lui. Il menace notre vie et notre santé mentale.
INVENTAIRE QUOTIDIEN
Jusqu'à quel point sommes-nous alcooliques ?
Buvons-nous raisonnablement ?
Avons-nous fini de combattre l'alcool ?
Avons-nous vraiment atteint notre bas-fond ?
Sommes-nous prêts à accepter A.A. ?
MEDITATION SUGGEREE
Comme malades alcooliques nous devrions nous joindre aux A.A. . Comme membres A.A., nous devrions nous rappeler tous les jours que nous arrêtons les effets d'une maladie incurable ; que nous sommes malades et pas vraiment fous. Notre façon immodérée de boire nous a entraînés dans un très mauvais pétrin. Boire ou ne pas boire, telle est la question. Les alcooliques qui boivent ne peuvent faire ni l'un ni l'autre --- voilà notre vrai problème. Le fait est que pour vivre sainement nous devons renoncer à l'alcool. C'est impossible sans A.A. Le mouvement A.A. constitue la meilleure solution à notre problème de boisson.
CONTACT SPIRITUEL
Notre Père, accorde-nous la faveur de comprendre notre maladie.
Donne plus de vigueur à nos efforts pour la vaincre.
Guide-nous sur les sentiers de la sobriété heureuse.
EXAMEN PHYSIQUE QUOTIDIEN
A.A. est composé de personnes qui tentent de corriger les erreurs de toute une vie. Notre programme de relèvement est basé sur cette prémisse. Nous arrêtons le cours de notre maladie mentale et spirituelle par l'étude et par nos efforts honnêtes, mais nous ne songeons pas assez à notre condition physique. Notre indifférence envers notre santé est la partie déconcertante de notre alcoolisme. Nous comptons beaucoup trop sur le soulagement de nos maux alors que nous devrions chercher à améliorer notre santé physique pour les prévenir.
extrait de "tabourets et bouteilles" page 96 et 97
1
Menu
1er RAPPEL QUOTIDIEN
Soyons honnêtes aujourd'hui. Faisons face à la réalité. L'alcool est un breuvage pour la plupart des gens, mais une drogue pour les alcooliques. Notre usage immodéré de ce "narcotique" nous a rendus malades dans notre corps, notre esprit et notre âme. Nous sommes à toute fin pratique impuissants devant lui. Il menace notre vie et notre santé mentale.
INVENTAIRE QUOTIDIEN
Jusqu'à quel point sommes-nous alcooliques ?
Buvons-nous raisonnablement ?
Avons-nous fini de combattre l'alcool ?
Avons-nous vraiment atteint notre bas-fond ?
Sommes-nous prêts à accepter A.A. ?
MEDITATION SUGGEREE
Comme malades alcooliques nous devrions nous joindre aux A.A. . Comme membres A.A., nous devrions nous rappeler tous les jours que nous arrêtons les effets d'une maladie incurable ; que nous sommes malades et pas vraiment fous. Notre façon immodérée de boire nous a entraînés dans un très mauvais pétrin. Boire ou ne pas boire, telle est la question. Les alcooliques qui boivent ne peuvent faire ni l'un ni l'autre --- voilà notre vrai problème. Le fait est que pour vivre sainement nous devons renoncer à l'alcool. C'est impossible sans A.A. Le mouvement A.A. constitue la meilleure solution à notre problème de boisson.
CONTACT SPIRITUEL
Notre Père, accorde-nous la faveur de comprendre notre maladie.
Donne plus de vigueur à nos efforts pour la vaincre.
Guide-nous sur les sentiers de la sobriété heureuse.
EXAMEN PHYSIQUE QUOTIDIEN
A.A. est composé de personnes qui tentent de corriger les erreurs de toute une vie. Notre programme de relèvement est basé sur cette prémisse. Nous arrêtons le cours de notre maladie mentale et spirituelle par l'étude et par nos efforts honnêtes, mais nous ne songeons pas assez à notre condition physique. Notre indifférence envers notre santé est la partie déconcertante de notre alcoolisme. Nous comptons beaucoup trop sur le soulagement de nos maux alors que nous devrions chercher à améliorer notre santé physique pour les prévenir.
extrait de "tabourets et bouteilles" page 96 et 97
Dernière édition par lucas34 le Mer 08 Oct 2014, 17:35, édité 1 fois
Invité- Invité
Page 2 sur 32 • 1, 2, 3 ... 17 ... 32
Page 2 sur 32
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum