Petit coin littérature
+44
Lilite
Cécile
Bertrand
Chapeau
Tigrou
Fernando
Francis Bruxelles
Enitram
Philippe
lucas34
Delph12
Piracantha
Natach
bnou
Anne
gillou34
Nenufare
Hobi
Fabrice
Séverine
Olivier 54150
lola
Gareline
MetM
Pierrot
dania
Myriam
babou58
Pierre
mickael
jacqueline36
Kuya Juju
juanito
Suzanne
Mapie
nadine05
Lucia
capucine430
Cath
pascal-17
Marine
GEGE
Laude
jaja
48 participants
Page 3 sur 32
Page 3 sur 32 • 1, 2, 3, 4 ... 17 ... 32
Re: Petit coin littérature
Et bin non Lucas, nous sommes le 8 octobre donc rappel quotidien 8
:rig: :hah:
:rig: :hah:
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Le rire est un solvant merveilleux pour les nuages sombres de la vie.
Il génère des relations humaines plus épanouies, désintoxique les humeurs accablées et bien plus encore. Plus le rire et le plaisir sont présents dans la vie d’un individu, plus il éloigne les possibilités de devoir consommer des tranquillisants ou des anxiolytiques. Le rire aide à évacuer nos tensions et contribue à ralentir le vieillissement. Il aide à mieux faire circuler l’énergie en nous.
En effet, les mouvements spasmodiques du diaphragme créés par le rire, facilitent une meilleure circulation d’énergie qui aide à relâcher les tensions émotionnelles et physiques. Les mouvements du diaphragme favorisent certes, l’élimination des toxines, mais provoquent une meilleure respiration, ce qui aide à éliminer le dioxyde de carbone de l’organisme en lui apportant plus d’oxygène.
La respiration est d’ailleurs une merveilleuse façon de prendre contact avec soi. Malheureusement, quand quelqu’un veut se couper d’une souffrance, inconsciemment il respire moins profondément, ce qui nuit à l’évacuation des déchets physiologiques et émotionnels pour ainsi dire. Nous demeurons alors plus stressés. Si une personne bloque ce qu’elle ressent, elle garde ainsi les émotions difficiles plus captives et risque de devoir les endormir avec des artifices de toutes sortes et ressentir bien du stress.
Nous ne sommes pas nécessairement captifs de ce que nous ressentons, mais de ce que nous nous empêchons de ressentir.
Quand on rit, le sang circule plus vite, le cerveau est donc mieux oxygéné et les hormones de la bonne humeur sont libérées. C’est pourquoi, si des gens disent : « Quand je vais aller mieux je vais rire », ils risquent d’attendre longtemps.
Le rire c’est un tonique libérateur. Il améliore les relations, la santé, l’éclat du visage; c’est un rayonnement qui vient du cœur. Le rire libère et active les processus naturels de la sagesse du corps.
Notre éducation nous a appris plein de choses, mais pas vraiment comment entretenir le plaisir, la bonne humeur, la joie de vivre, le positivisme, le langage du cœur et le rire comme source de vitalité et de communication interpersonnelle pour ainsi permettre notre plein épanouissement. Nos parents nous ont donné le meilleur d’eux-mêmes avec les ressources qu’ils avaient, mais il nous revient maintenant de nous donner le meilleur à nous-même.
Le rire a longtemps été considéré comme une impolitesse par la société et diabolique par l’Église. N’empêche que chacun de vous a pu ressentir à un moment ou l’autre que le fait d’avoir rit lui avait procuré une détente profonde, un sentiment de soulagement et de paix. Vous avez peut-être même réalisé que votre intellect devenait plus alerte.
Le rire crée un sentiment d’ouverture au moment présent, augmente l’effet d’entregent, la qualité des communications interpersonnelles…
On le sait, on le sent, le rire nous fait du bien. Alors, riez-vous suffisamment ?
extrait de " Lasolutionestenvous.com
Il génère des relations humaines plus épanouies, désintoxique les humeurs accablées et bien plus encore. Plus le rire et le plaisir sont présents dans la vie d’un individu, plus il éloigne les possibilités de devoir consommer des tranquillisants ou des anxiolytiques. Le rire aide à évacuer nos tensions et contribue à ralentir le vieillissement. Il aide à mieux faire circuler l’énergie en nous.
En effet, les mouvements spasmodiques du diaphragme créés par le rire, facilitent une meilleure circulation d’énergie qui aide à relâcher les tensions émotionnelles et physiques. Les mouvements du diaphragme favorisent certes, l’élimination des toxines, mais provoquent une meilleure respiration, ce qui aide à éliminer le dioxyde de carbone de l’organisme en lui apportant plus d’oxygène.
La respiration est d’ailleurs une merveilleuse façon de prendre contact avec soi. Malheureusement, quand quelqu’un veut se couper d’une souffrance, inconsciemment il respire moins profondément, ce qui nuit à l’évacuation des déchets physiologiques et émotionnels pour ainsi dire. Nous demeurons alors plus stressés. Si une personne bloque ce qu’elle ressent, elle garde ainsi les émotions difficiles plus captives et risque de devoir les endormir avec des artifices de toutes sortes et ressentir bien du stress.
Nous ne sommes pas nécessairement captifs de ce que nous ressentons, mais de ce que nous nous empêchons de ressentir.
Quand on rit, le sang circule plus vite, le cerveau est donc mieux oxygéné et les hormones de la bonne humeur sont libérées. C’est pourquoi, si des gens disent : « Quand je vais aller mieux je vais rire », ils risquent d’attendre longtemps.
Le rire c’est un tonique libérateur. Il améliore les relations, la santé, l’éclat du visage; c’est un rayonnement qui vient du cœur. Le rire libère et active les processus naturels de la sagesse du corps.
Notre éducation nous a appris plein de choses, mais pas vraiment comment entretenir le plaisir, la bonne humeur, la joie de vivre, le positivisme, le langage du cœur et le rire comme source de vitalité et de communication interpersonnelle pour ainsi permettre notre plein épanouissement. Nos parents nous ont donné le meilleur d’eux-mêmes avec les ressources qu’ils avaient, mais il nous revient maintenant de nous donner le meilleur à nous-même.
Le rire a longtemps été considéré comme une impolitesse par la société et diabolique par l’Église. N’empêche que chacun de vous a pu ressentir à un moment ou l’autre que le fait d’avoir rit lui avait procuré une détente profonde, un sentiment de soulagement et de paix. Vous avez peut-être même réalisé que votre intellect devenait plus alerte.
Le rire crée un sentiment d’ouverture au moment présent, augmente l’effet d’entregent, la qualité des communications interpersonnelles…
On le sait, on le sent, le rire nous fait du bien. Alors, riez-vous suffisamment ?
extrait de " Lasolutionestenvous.com
jaja- Nombre de messages : 32555
Age : 77
Localisation : Liège Belgique
Votre signature : faut que ça aille...sans alcool Invité
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Petit coin littérature
On dit en médecine chinoise que chaque organe à un son qui lui est propre les pleurs les cris etc.....le RIRE est le son du cœur!
Pas fous ces chinois ;)
Pas fous ces chinois ;)
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
es bénéfices de l'arrêt du tabac sont rapides et nombreux.
Quels bénéfices lorsqu'on arrête de fumer ?
Lorsqu'on arrête de fumer, de nombreux changements positifs se font sentir, plus ou moins rapidement (adapté d'un document de l'INPES).Temps après la dernière cigarette | Bénéfice observé |
20 minutes | La pression sanguine et les battements cardiaques redeviennent normaux. |
8 heures | Les cellules du corps sont normalement oxygénées. |
24 heures | Le risque de crise cardiaque diminue déjà ! Les poumons commencent à se débarrasser du mucus et des résidus de fumée. Le corps ne contient plus de nicotine. |
48 heures | Le goût et l'odorat s'améliorent. |
72 heures | Respirer devient plus facile. Les bronches sont plus ouvertes et la personne se sent plus en forme. |
Entre 2 et 10 semaines | La toux et la fatigue diminuent. La personne retrouve son souffle et marche plus facilement. |
Entre 1 et 9 mois | Les bronches retrouvent toutes leurs fonctions et la personne se sent moins essoufflée après un effort. |
1 an | Le risque de crise cardiaque a diminué de moitié. Le risque d'accident vasculaire cérébral ("attaque", AVC) est le même que celui d'un non-fumeur. |
5 ans | Le risque de cancer du poumon a diminué presque de moitié. |
Entre 10 et 15 ans | L'espérance de vie est redevenue identique à celle d'une personne qui n'a jamais fumé. |
si ça peut vous motiver
Invité- Invité
Le préambule texan
Le préambule Texan
Je suis alcoolique, aujourd’hui abstinent grâce aux A.A. J’ai vécu ma première année et demi d’abstinence en Australie. Là-bas circulait autrefois le “ Préambule Texan “ que j’ai tenté de traduire pour vous. Chaque fois que je le faisais passer dans les groupes des environs, tout le monde trouvait du plaisir à le lire. J’ai alors pensé que cela vaudrait la peine de le publier afin qu’il amuse plus de monde en- core Qu’est-ce que A.A. ? Alcooliques Anonymes est une association d’hommes et de femmes, fondée et gérée par une bande d’ivrognes, et la seule condition pour en être membre est de n’avoir aucune mesure et de refuser d’apprendre à boire comme des honnêtes gens. Il n’y a pas de règles, pas d’obligations ou de contribution, ni quoi que ce soit dont une organisation sérieuse pourrait avoir besoin. Lors de leurs ré- unions, les orateurs commencent par un thème donné, parlent de tout autre chose et concluent par des mots qui veulent dire qu’ils ne comprennent absolument rien au Programme, mais qu’ils savent seulement que celui-ci fonctionne. Les groupes sont toujours fauchés et pourtant ils ont toujours l’air de disposer de fonds suffisants. Régulièrement, ils perdent des membres et pourtant ils paraissent croître continuellement. Ils insistent sur le fait qu’il faut tout faire pour soi-même, mais donnent l’impression de ne jamais travailler que pour les autres. Chaque groupe se donne des lois, règles, décrets et proclamations que chacun ignore allègrement. Des membres qui sont d’un avis contraire ont le privilège de quitter la réunion pleins de rage et d’annoncer définitivement leur démission, pour revenir la semaine suivante comme si de rien n’était, et être chaleureusement accueillis. Rien n’est envisagé plus de 24 heures à l’avance, et pourtant des projets immenses voient le jour. Comment pouvons-nous dès lors survivre ? Peut-être parce que nous avons appris à vivre et à rire, surtout de nous-mêmes. Dieu créa l’homme, il créa également le rire. Peut-être est-il content de nos efforts chaotiques. et peut-être adore-t-il nous mener par le bout du nez jusqu’à ce que nous ayons trouvé le bon chemin, sans tenir compte de celui qui a poussé sur le mauvais bouton. Peut-être est-il content, non pas de notre perfection, mais de notre honnêteté. Ou peut-être se réjouit-il que nous ne voulions être personne d’autre que nous-mêmes Nous ne savons pas comment cela fonctionne, mais nous savons que ce- la fonctionne, et les membres reçoivent continuellement les intérêts de leurs investissements en A.A.
Il est sage d’être sobre et abstinent, mais croyez-moi, chers amis, il est beaucoup plus simple de vivre sobre et abstinent que de devenir sobre et abstinent. Avec mes chaleureux compliments, bonnes vingt-quatre heures
Burkhard, Extrait de "Partage" numéro spécial 25 ans (2002)
Je suis alcoolique, aujourd’hui abstinent grâce aux A.A. J’ai vécu ma première année et demi d’abstinence en Australie. Là-bas circulait autrefois le “ Préambule Texan “ que j’ai tenté de traduire pour vous. Chaque fois que je le faisais passer dans les groupes des environs, tout le monde trouvait du plaisir à le lire. J’ai alors pensé que cela vaudrait la peine de le publier afin qu’il amuse plus de monde en- core Qu’est-ce que A.A. ? Alcooliques Anonymes est une association d’hommes et de femmes, fondée et gérée par une bande d’ivrognes, et la seule condition pour en être membre est de n’avoir aucune mesure et de refuser d’apprendre à boire comme des honnêtes gens. Il n’y a pas de règles, pas d’obligations ou de contribution, ni quoi que ce soit dont une organisation sérieuse pourrait avoir besoin. Lors de leurs ré- unions, les orateurs commencent par un thème donné, parlent de tout autre chose et concluent par des mots qui veulent dire qu’ils ne comprennent absolument rien au Programme, mais qu’ils savent seulement que celui-ci fonctionne. Les groupes sont toujours fauchés et pourtant ils ont toujours l’air de disposer de fonds suffisants. Régulièrement, ils perdent des membres et pourtant ils paraissent croître continuellement. Ils insistent sur le fait qu’il faut tout faire pour soi-même, mais donnent l’impression de ne jamais travailler que pour les autres. Chaque groupe se donne des lois, règles, décrets et proclamations que chacun ignore allègrement. Des membres qui sont d’un avis contraire ont le privilège de quitter la réunion pleins de rage et d’annoncer définitivement leur démission, pour revenir la semaine suivante comme si de rien n’était, et être chaleureusement accueillis. Rien n’est envisagé plus de 24 heures à l’avance, et pourtant des projets immenses voient le jour. Comment pouvons-nous dès lors survivre ? Peut-être parce que nous avons appris à vivre et à rire, surtout de nous-mêmes. Dieu créa l’homme, il créa également le rire. Peut-être est-il content de nos efforts chaotiques. et peut-être adore-t-il nous mener par le bout du nez jusqu’à ce que nous ayons trouvé le bon chemin, sans tenir compte de celui qui a poussé sur le mauvais bouton. Peut-être est-il content, non pas de notre perfection, mais de notre honnêteté. Ou peut-être se réjouit-il que nous ne voulions être personne d’autre que nous-mêmes Nous ne savons pas comment cela fonctionne, mais nous savons que ce- la fonctionne, et les membres reçoivent continuellement les intérêts de leurs investissements en A.A.
Il est sage d’être sobre et abstinent, mais croyez-moi, chers amis, il est beaucoup plus simple de vivre sobre et abstinent que de devenir sobre et abstinent. Avec mes chaleureux compliments, bonnes vingt-quatre heures
Burkhard, Extrait de "Partage" numéro spécial 25 ans (2002)
jaja- Nombre de messages : 32555
Age : 77
Localisation : Liège Belgique
Votre signature : faut que ça aille...sans alcool Invité
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Petit coin littérature
«Tandis que nous parlons, le temps jaloux aura fui; cueille le jour présent, en te fiant le moins possible au lendemain.»
– Horace
Êtes-vous accro à l’espoir?
C’est merveilleux de croire en un futur meilleur. C’est super de voir la lumière au bout du tunnel, de se rappeler que tout finira par s’arranger. Oh oui, espérer est un excellent mécanisme de survie… mais voilà justement le hic : c’est un mécanisme de survie. Il nous aide à tolérer notre existence, mais pas à la savourer. Il nous amène à aimer l’avenir, mais toujours un peu aux dépens du présent. Car si on cultive l’espoir, on cultive en même temps la douleur ou l’insatisfaction qui le justifie. Pour voir la lumière au bout du tunnel… eh bien, il faut être dans le tunnel, mes amis!
Ce n’est pas une chose dont on parle souvent, mais les outils qui nous permettent de nous relever sur nos pieds ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux qui nous permettront d’atteindre les beaux sommets ensoleillés. Oui, ce qui nous aide à composer avec le mal-être ne nous aidera pas nécessairement à cultiver un bien-être profond. Nos besoins changent au fil du temps… et il y a certaines béquilles que l’on gagne à laisser aller, que l’on doit laisser aller, si on veut passer au prochain stade de notre évolution.
Ainsi, autant il est merveilleux de cultiver l’espoir quand on est en difficulté, autant il est important de s’en détacher lorsqu’il a perdu son utilité. Car oui, l’avenir peut être extraordinaire, il peut même être éblouissant… mais il ne sera toujours que l’avenir, justement.
Bon mardi!
Marie-Pier de Matin Magique
– Horace
Êtes-vous accro à l’espoir?
C’est merveilleux de croire en un futur meilleur. C’est super de voir la lumière au bout du tunnel, de se rappeler que tout finira par s’arranger. Oh oui, espérer est un excellent mécanisme de survie… mais voilà justement le hic : c’est un mécanisme de survie. Il nous aide à tolérer notre existence, mais pas à la savourer. Il nous amène à aimer l’avenir, mais toujours un peu aux dépens du présent. Car si on cultive l’espoir, on cultive en même temps la douleur ou l’insatisfaction qui le justifie. Pour voir la lumière au bout du tunnel… eh bien, il faut être dans le tunnel, mes amis!
Ce n’est pas une chose dont on parle souvent, mais les outils qui nous permettent de nous relever sur nos pieds ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux qui nous permettront d’atteindre les beaux sommets ensoleillés. Oui, ce qui nous aide à composer avec le mal-être ne nous aidera pas nécessairement à cultiver un bien-être profond. Nos besoins changent au fil du temps… et il y a certaines béquilles que l’on gagne à laisser aller, que l’on doit laisser aller, si on veut passer au prochain stade de notre évolution.
Ainsi, autant il est merveilleux de cultiver l’espoir quand on est en difficulté, autant il est important de s’en détacher lorsqu’il a perdu son utilité. Car oui, l’avenir peut être extraordinaire, il peut même être éblouissant… mais il ne sera toujours que l’avenir, justement.
Bon mardi!
Marie-Pier de Matin Magique
jaja- Nombre de messages : 32555
Age : 77
Localisation : Liège Belgique
Votre signature : faut que ça aille...sans alcool Invité
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Petit coin littérature
«Vous êtes un fils de la vie infinie. Vous êtes un enfant de l'éternité, vous êtes merveilleux.»
– Joseph Murphy
Il y a un moment sacré où chacun d’entre nous établira qu’il est assez. Oui, il y a un jour où nous statuerons une fois pour toutes que nous sommes infiniment précieux et profondément dignes d’être aimés. Ce jour-là, nous ouvrirons notre grand portail intérieur et nous laisserons l’amour entrer avec fluidité. Oh, et nous nous permettrons enfin d’imaginer, puis éventuellement de vivre, ces douces visions qui nous font vibrer.
On croit que ce jour magique viendra lorsqu’on sera plus accompli. Ou lorsque quelqu’un viendra nous sauver. Ou lorsqu’on aura assez «travaillé sur nous»… Oui, lorsqu’on sera à la hauteur de ces merveilleux idéaux que nous avons toujours cultivés. Et c’est là que nous sommes complètement, mais complètement à côté. Car ce jour ne viendra jamais parce que nous serons plus beaux, plus fins, ou plus évolués… Non, il viendra simplement, tout simplement, lorsqu’on l’aura décidé.
Passez une délicieuse journée!
Marie-Pier de Matin-Magique
– Joseph Murphy
Il y a un moment sacré où chacun d’entre nous établira qu’il est assez. Oui, il y a un jour où nous statuerons une fois pour toutes que nous sommes infiniment précieux et profondément dignes d’être aimés. Ce jour-là, nous ouvrirons notre grand portail intérieur et nous laisserons l’amour entrer avec fluidité. Oh, et nous nous permettrons enfin d’imaginer, puis éventuellement de vivre, ces douces visions qui nous font vibrer.
On croit que ce jour magique viendra lorsqu’on sera plus accompli. Ou lorsque quelqu’un viendra nous sauver. Ou lorsqu’on aura assez «travaillé sur nous»… Oui, lorsqu’on sera à la hauteur de ces merveilleux idéaux que nous avons toujours cultivés. Et c’est là que nous sommes complètement, mais complètement à côté. Car ce jour ne viendra jamais parce que nous serons plus beaux, plus fins, ou plus évolués… Non, il viendra simplement, tout simplement, lorsqu’on l’aura décidé.
Passez une délicieuse journée!
Marie-Pier de Matin-Magique
jaja- Nombre de messages : 32555
Age : 77
Localisation : Liège Belgique
Votre signature : faut que ça aille...sans alcool Invité
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Petit coin littérature
handicap m'interdit même... les réunions mais je commence chaque nouvelle journée par une lecture des "Réflexions quotidiennes". Dès que, le matin, les soins de l'auxiliaire de vie m'ont donné figure humaine, je me retrouve dans une grande pièce toute claire, mon livre st sur le coin de la table: l'ouvrir c'est comme ouvrir les volets pour la deuxième fois: Recevoir la lumière. Il m'arrive de ne pas être d'accord avec la formulation, de la changer. Qu'importe, ouvrir ce livre c'est signer mon appartenance à AA. Cette appartenance, c'est elle ma liberté.
CES BIEN VRAI BONNE SOIREE A VOUS
CES BIEN VRAI BONNE SOIREE A VOUS
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Le courage d’être soi
Le courage d’être soi ne se transmet pas par les gênes, pas plus qu’il ne nous est donné ou offert à la naissance par quelques bonnes fées ou devins qui se serait penchés sur notre berceau pour y déposer ce qui est souvent considéré comme une vertu.
Le courage d’être soi ne s’acquiert pas à partir de faits d’armes ou d’actes héroïques sur des champs de bataille ou dans des combats pour vaincre un ennemi, il se découvre et se développe à partir d’une confrontation et d’un dépassement de soi même. Il ne vise pas à vaincre ou à convaincre, mais à croître, à permettre un grandissement de l’intérieur Il va naître d’une lutte contre nos conditionnements et habitudes, d’une plongée dans nos zones d’ombre et surtout d’une confrontation avec nos culpabilités, avec la peur de décevoir, de ne pas être à la hauteur, de ne pas savoir aimer ou de mal aimer.
Le courage d’être soi est une conquête qui doit se confirmer chaque jour, il est l’aboutissement d’un cheminement semé de découvertes et de déceptions, d’enthousiasme et d’obstacles. Il s’appuie sur le dépassement d’un certain nombre de leurres et de croyances erronées.
Le courage d’être soi va se révéler à nous au travers d’une succession d’épreuves. Il devra se nourrir à des racines autour de la confiance en soi, du respect de l’ex-enfant qui est en nous, de la responsabilisation pour l’adulte que nous sommes devenus.
Et pour cela nécessiter un nettoyage de la tuyauterie relationnelle avec notre passé, un lâcher prise sur les ressentiments, les regrets, les amertumes ou les accusations sur les personnages clés de notre histoire.
Le courage d’être soi suppose d’aller au-delà des loyautés invisibles, des fidélités qui nous enferment pour accepter d’oser sa propre vie, sans se sentir coupable de la vivre à temps plein.
Trouver la bonne distance dans une relation proche, se définir et surtout refuser de se laisser définir par nos proches, ceux qui prétendent nous aimer et qui voudraient trop souvent nous mettre au service de leurs besoins et désirs, cela suppose de prendre le risque de faire de la peine, d’être mal jugé, d’être perçu comme égoïste ou sans cœur.
Le courage d’être soi va s’imposer parfois à nous comme une nécessité, celle de sortir de la survie, pour naître enfin à la vie.
Auteur: Jacques Salomé
Le courage d’être soi ne se transmet pas par les gênes, pas plus qu’il ne nous est donné ou offert à la naissance par quelques bonnes fées ou devins qui se serait penchés sur notre berceau pour y déposer ce qui est souvent considéré comme une vertu.
Le courage d’être soi ne s’acquiert pas à partir de faits d’armes ou d’actes héroïques sur des champs de bataille ou dans des combats pour vaincre un ennemi, il se découvre et se développe à partir d’une confrontation et d’un dépassement de soi même. Il ne vise pas à vaincre ou à convaincre, mais à croître, à permettre un grandissement de l’intérieur Il va naître d’une lutte contre nos conditionnements et habitudes, d’une plongée dans nos zones d’ombre et surtout d’une confrontation avec nos culpabilités, avec la peur de décevoir, de ne pas être à la hauteur, de ne pas savoir aimer ou de mal aimer.
Le courage d’être soi est une conquête qui doit se confirmer chaque jour, il est l’aboutissement d’un cheminement semé de découvertes et de déceptions, d’enthousiasme et d’obstacles. Il s’appuie sur le dépassement d’un certain nombre de leurres et de croyances erronées.
Le courage d’être soi va se révéler à nous au travers d’une succession d’épreuves. Il devra se nourrir à des racines autour de la confiance en soi, du respect de l’ex-enfant qui est en nous, de la responsabilisation pour l’adulte que nous sommes devenus.
Et pour cela nécessiter un nettoyage de la tuyauterie relationnelle avec notre passé, un lâcher prise sur les ressentiments, les regrets, les amertumes ou les accusations sur les personnages clés de notre histoire.
Le courage d’être soi suppose d’aller au-delà des loyautés invisibles, des fidélités qui nous enferment pour accepter d’oser sa propre vie, sans se sentir coupable de la vivre à temps plein.
Trouver la bonne distance dans une relation proche, se définir et surtout refuser de se laisser définir par nos proches, ceux qui prétendent nous aimer et qui voudraient trop souvent nous mettre au service de leurs besoins et désirs, cela suppose de prendre le risque de faire de la peine, d’être mal jugé, d’être perçu comme égoïste ou sans cœur.
Le courage d’être soi va s’imposer parfois à nous comme une nécessité, celle de sortir de la survie, pour naître enfin à la vie.
Auteur: Jacques Salomé
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
LES ÉCLUSES DE FONSÉRANNES Si un jour, lors de vos vacances, vous avez l'opportunité de passer du côté de Béziers, ne faites surtout pas l'impasse ! Allez voir le canal du Midi, un paradis bucolique été comme hiver, qui fascine des milliers de touristes... Et n'oubliez pas d'aller admirer les écluses de Fonsérannes, ce lieu vraiment atypique, très proche de l'Orb. Ces écluses sont une prouesse technique due à Pierre-Paul Riquet qui supervisa leur construction au XVIIème siècle. Cet homme a relevé un tel défi que les écluses de Fonsérannes furent citées au patrimoine mondial de l'humanité en 1996. Ces écluses sont d'une longueur de 300 mètres et leur dénivelé est de 25 mètres. Elles sont composées de 9 vannes et 14 volées d'escaliers longent cette impressionnante coulée d'eau. Tout est vraiment magnifique!!!....! je sais ces un peu chauvin personne n est parfais |
Invité- Invité
Laude- Nombre de messages : 6448
Age : 76
Localisation : Angleur / Belgique
Votre signature : Vivre le moment présent
Date d'inscription : 08/11/2010
Guérir par le rire
GUÉRIR PAR LE RIRE
Le rire est la meilleure des médecines
Dr CHRISTIAN TAL SCHALLER
Alliant les techniques de santé des traditions anciennes aux méthodes les plus avancées en matière de psycho-neuro-immunologie et de psychologie transpersonnelle, le docteur Schaller pratique et enseigne les médecines douces depuis 25 ans. Ses secrets: rire, channeling et diététique ! Dynamique et enthousiaste, c'est un adepte convaincu de la méthode holistique en matière de santé et les résultats obtenus semblent spectaculaires.
Témoignages :
JOHN STUART MERILL
Le 4 avril 1884, John Stuart Merill vivait ses derniers instants sur cette terre. Terrassé par un cancer irrémédiable, les médecins qui le soignaient ne lui avaient pas caché leur impuissance à enrayer sa maladie. Allongé sur son lit de souffrance John était entouré par sa famille - des bourgeois offrant des visages sévères et des mines patibulaires, une femme (déjà en deuil) et des enfants en pleurs.
C'est alors que le malade vit arriver Ed, un ami d'enfance, habillé en clown et tout souriant. L'irruption de ce pitre dans cette triste chambre d'hôpital qui sentait déjà la morgue le fit rire aux éclats, au grand scandale de la famille éplorée. Sans se soucier de tous ces affligés, Ed se précipita dans les bras de son ami, qu'il embrassa sans ménagement en le secouant comme un prunier tout en lui racontant des histoires drôles.
En un clin d'oeil, l'atmosphère morose de la chambre se transforma. Le malade pris d'un énorme fou rire se redressa et oublia ses souffrances et ses malheurs. Ed revint plusieurs jours de suite, vêtu d'accoutrements bizarres, débitant un lot d'histoires lestes ou drôles, si bien que sa présence attirait dans la chambre de son ami les malades du voisinage, les infirmières et même quelques médecins.
Quinze jours plus tard, à la grande suprise du corps médical, John Stuart Merill quittait l'hôpital, à peu près guéri. Après quinze jours de convalescence, il reprenait ses activités, et se retrouva dans la meilleure des formes. A qui voulait bien l'entendre, il jurait que c'était Ed qui l'avait guéri, en le faisant rire !
Témoignages ;
NORMAN COUSINS
L'été 1964, Norman Cousins, journaliste, est terrassé par un mal irréversible. Son état dégénère rapidement et voilà qu'il se retrouve à l'hôpital, incapable de dormir, avec des souffrances horribles.
Pourtant, Cousins refuse la fatalité et décide de lutter contre son mal. Il sait que ces sortes de maladies sont souvent provoquées par une carence en adrénaline. Il pense que dans son cas, son affection serait due à la tension affective et physique subie lors d'un voyage dramatique en Union Soviétique.
Cousins estime que si des émotions négatives peuvent perturber l'équilibre chimique du corps, des émotions positives amèneraient certainement des changements positifs. Il décide que l'optimisme et le rire sont peut-être le meilleur remède. Et il se met à regarder toutes les émissions drôles que pouvait lui procurer la télévision.
« Je fis cette merveilleuse découverte, écrira-t-il plus tard, que dix minutes de rire m'assuraient au moins deux heures de sommeil sans douleur.» Son état s'étant amélioré, Cousins quitte bientôt l'hôpital pour l'environnement plus gai d'une chambre d'hôtel où il peut visionner des films comiques à satiété, lire des livres drôles, rire aux éclats, et dormir comme il le souhaite.
Quelques semaines plus tard, la douleur disparaît et les médecins constatent sans l'expliquer que le tissu de sa colonne vertébrale et de ses articulations se régénèrent et que sa maladie irréversible régresse. Bientôt Cousins reprend son jogging quotidien et au bout de quelques mois, reprend son travail de journaliste.
Convaincu qu'il doit sa guérison à sa volonté de survivre et à sa cure de rire, Cousins écrira son étonnante expérience et en fera un bestseller.
(D'après "Faits étranges et récits extraordinaires" Sélection du Reader's Digest et 'The New-Yorker").
HENRI DURVILLE
Dans les années 20, le célèbre magnétiseur Henri Durville fut une fois encore traîné devant le tribunal de la Seine sous l'accusation d'exercice illégal de la médecine, comme l'avait déjà été maintes fois son père.
Or, durant le procès, Durville qui avait visiblement affaire à un juge hostile au magnétisme, observa que l'un de ses assesseurs, un homme maigre, au visage triste, souffrait d'une affection grave. Alors, sachant que de toute façon, devant un tel tribunal, sa cause serait perdue et qu'il écoperait du maximum, le thérapeute entreprit de mettre le nombreux public de la salle d'audience de son côté, en le faisant rire par la verve de ses répliques, mais, si possible, sans trop incommoder ses juges.
Doué de beaucoup d'humour, Henri Durville se mit à raconter avec drôlerie, en les mimant, des scènes vécues dans son cabinet, imitant tour à tour les patois paysans et les accents provinciaux de ses patients. A un moment donné, pointant son doigt vers l'assesseur qu'il savait malade mais pas incurable, il s'écria dans un franc éclat de rire, repris par la salle, et qui dérida jusqu'au juge :
- Oui, Messieurs, le magnétisme guérit, mais aussi le rire, le rire est un grand médecin, et je vais vous le prouver !
Voyez votre collègue ici présent, M. X, éminent assesseur de votre tribunal. Eh bien? Je vous le dis, et je n'ai pas besoin d'être membre de la Faculté pour le diagnostiquer ? M. X souffre, et souffre gravement ? Est-ce vrai ?
L'assesseur opina tristement du chef. Le juge voulut en revenir au sujet. Mais Durville insista :
- Eh bien, M. le Juge, avec votre permission je vais tenter de guérir votre distingué collaborateur. Mais pour ce faire, il me faut votre aide et celle du public. Nous devons faire rire cet homme souffrant, le faire rire aux éclats !
Et, s'avançant derechef vers l'assesseur, il éclata d'un grand et beau rire communicatif, relayé par la salle, et, fixant le malade dans les yeux, il lui dit :riez, et vous serez guéri !
La scène, au dire d'un témoin, avait quelque chose d'ubuesque et d'irréel. La salle était pliée en deux de rire, les gardes désopilés, juge, assesseurs et greffier hoquetants, hilares.
Alors Henri Durville, le prévenu, superbe, bombant le torse, les doigts des deux mains pointées horizontalement vers l'assesseur du tribunal qui entraîné par l'ambiance riait lui aussi aux éclats, affirma avec force : « Vous êtes guéri !»
Et, à la stupéfaction de la salle et du tribunal, il avoua qu'il l'était. (D'après "Le Magnétiseur français" ).
Témoignage :
SANS JOIE DE VIVRE, PAS DE GUÉRISON
--------------------------------------------------
Infirmière à la retraite, j'ai été durant plusieurs années l'assistante du professeur L., un grand patron de l'hôpital Saint-Louis à Paris.
Je me souviens que le professeur exigeait du personnel de son service et de ses internes qu'ils soient toujours gais et de bonne humeur. Il agrémentait ses visites de bons mots, s'efforçait de faire rire ses patients et avait coutume de dire : «Sans joie de vivre, pas de guérison.»
Il lui arrivait de chatouiller les enfants pour les faire rire (et même certains adultes, voire des grands-mères !)
Un jour, devant un lupus incurable, une affection très traumatisante qui défigurait la patiente et qu'il ne parvenait pas à enrayer, il décida d'arrêter tout traitement médical et d'entreprendre une cure psychologique.
Cette femme, une noire, avait connu beaucoup de malheurs dans sa vie. Le professeur L. prétendait que nombre de maladies sont d'origine psychosomatique. Alors il se mit à plaisanter avec cette femme, à la dérider, à lui raconter des blagues. Comme je lui demandais pourquoi il consacrait tant de temps à cette patiente, il me dit : - Je veux la guérir.
Longtemps taciturne, peu causante, d'humeur morose, elle se détendit et, attendait avec impatience la visite du "patron".
Un matin, il arriva avec une mini chaîne stéréo portable qu'il installa dans la chambre de la malade. Il s'assit familièrement sur le lit de sa patiente, glissa un disque compact dans le lecteur et mit l'appareil en route. Un solo de rire imprévu et communicatif jaillit des hauts parleurs et entraîna l'hilarité de toute l'assistance, de la patiente au dernier des internes.
A un moment donné, la malade fut prise d'un fou rire tel qu'elle hoqueta :
- Arrêtez ! C'est trop ! Je vais pisser dans ma chemise !
Eh bien, le lendemain, le lupus qui la défigurait était enrayé, une semaine plus tard, la patiente avait retrouvé un visage normal, sans croûtes ni pustules. Seules quelques traces roses persistaient. Un mois plus tard, elle était heureuse, souriante et guérie. Et c'était à une cure de rire qu'elle devait sa guérison.
Françoise L., Infirmière (D'après "Science & Magie").
Témoignage :
LA SANTÉ PAR LE RIRE
---------------------------
"Il faut rire avant que d'être heureux,
de peur de mourir sans avoir ri."
La Bruyère.
C'est que le rire est bien plus qu'un simple élargissement de l'ouverture de la bouche accompagné d'expirations saccadées plus ou moins bruyantes, comme l'explique le dictionnaire. Action positive, moyen de défense du système immunitaire, véritable jogging cérébral, le rire est le propre de l'homme...
Il est reconnu que le rire déclenche un certain nombre d'effets positifs sur l'organisme et que son utilité dans notre vie quotidienne n'est plus à démontrer. Lors de quelques expériences qui ont été menées ici et là, on a constaté, sur le plan médical, des améliorations et parfois même des guérisons.
Un des cas les plus spectaculaires est sans aucun doute celui de Norman Cousin, journaliste américain qui a guéri d'une spondylarthrite ankylosante, une très grave maladie inflammatoire des articulations et de la colonne vertébrale. Grâce au rire et à la vitamine C !
Le rire, un médicament
Le Docteur Henri Rubinstein, auteur de « La Psychosomatique du rire» est convaincu qu'avec le rire, on peut fabriquer son propre "Prozac" (un anxiolytiquc très en vogue actuellement.).
En effet, le rire libère des anxiétés, angoisses diverses et ce rôle libérateur apporté par le rire protège nos défenses immunitaires. Nous savons tous qu'un être pessimiste ira plus vite vers la dépression qu'un être optimiste qui, lui, ira plus vite vers la guérison.
L'application du rire en milieu hospitalier est indispensable à condition de mettre les malades en siruation de « fabricants » du rire et non en tant que simples spectateurs. Les enfants en sont les plus grands bénéficiaires.
La demande la plus importante vient des clubs de 3e âge. Ma première expérience s'est faite avec un club des Hauts-de-Seine, un petit groupe d'une dizaine de personnes. Moyenne d'âge :68 ans, le plus âgé ayant 81 ans.
Ayant visionné un de leurs spectacles de fin d'année, j'ai pu mettre au point un début de programme d'expression corporelle avec comme objectif, un spectacle à présenter en juin. Après quelques séances de mise en confiance, nous avons attaqué ensemble l'écriture du nouveau spectacle.
Les séances d'improvisations, les recherches de chansons, les idées ont suivi. Les rires sont nés au milieu de ce travail grâce à la spirale du plaisir qui s'est mise en place naturellement. Apprendre dans la détente, et le rire revient...
Si les maisons de retraite pouvaient former des équipes d'animation à la thérapie par le rire, elles seraient plus vivantes et la santé des personnes âgées s'en ressentirait.
En entreprise, le rire aura pour finalité une meilleure ambiance de travail, une meilleure écoute, une solidarité et une efficacité redoublée. N'oublions pas que le rire désarme l'agressivité.
Les dirigeants d'entreprise, les cadres et tous ceux qui ont des responsabilités ayant travaillé avec un thérapeute du rire, trouveront toujours le mot juste et la petite pointe d'humour qui donnera du ressort aux personnes au travail. Il n'est pas nécessaire de paraître sérieux pour enlever un marché...
A l'école
----------
Franchir les barrières de l'Éducation nationale pour installer un cours de rire dans les classes, reste une utopie. L'école est un lieu où le rire a du mal à être accepté. Quel enseignant ou quelle école osera prendre l'initiative d'instaurer un cours de rire une fois par semaine ou par quinzaine ?
Et pourtant le rire développe chez l'enfant, l'imagination, la création et diminue son agressivité. Le rire facilite également la communication entre élèves et enseignants.
Le rire en thérapie
----------------------
Plus étonnant, en Angleterre et surtout aux États-Unis, nombre de gens ont recours à un thérapeute du rire.
Imaginons que chaque hôpital ou que chaque clinique dispose d'un atelier de thérapie par le rire... Le rôle du thérapeute serait de réunir dans cet atelier des groupes de malades afin de leur apprendre à rire. Des malades en attente d'une intervention chirurgicale, par exemple.
Dans un premier temps, on leur apprendra à se relaxer afin d'éliminer l'appréhension de l'opération, de renforcer les défenses immunitaires, d'augmenter les énergies positives, d'où l'intérêt de pratiquer la thérapie par le rire, en groupe.
Après l'intervention, le travail sur le rire sera fonction des opérations subies. Autant éviter à un opéré fraîchement recousu de rire aux éclats... Mais, l'action positive qu'entraîne le rire sur l'organisme avant ou après une intervention chirurgicale, facilitera le travail de toute l'équipe médicale.
Le rire agira comme un puissant antidépresseur, un véritable stimulant psychique. Autre point important au moment où l'on recherche des solutions économiques ; le rire peut alléger les tensions sociales et soulager les comptes de la sécurité sociale... (Antoine ROGANI).
Le rire est la meilleure des médecines
Dr CHRISTIAN TAL SCHALLER
Alliant les techniques de santé des traditions anciennes aux méthodes les plus avancées en matière de psycho-neuro-immunologie et de psychologie transpersonnelle, le docteur Schaller pratique et enseigne les médecines douces depuis 25 ans. Ses secrets: rire, channeling et diététique ! Dynamique et enthousiaste, c'est un adepte convaincu de la méthode holistique en matière de santé et les résultats obtenus semblent spectaculaires.
Témoignages :
JOHN STUART MERILL
Le 4 avril 1884, John Stuart Merill vivait ses derniers instants sur cette terre. Terrassé par un cancer irrémédiable, les médecins qui le soignaient ne lui avaient pas caché leur impuissance à enrayer sa maladie. Allongé sur son lit de souffrance John était entouré par sa famille - des bourgeois offrant des visages sévères et des mines patibulaires, une femme (déjà en deuil) et des enfants en pleurs.
C'est alors que le malade vit arriver Ed, un ami d'enfance, habillé en clown et tout souriant. L'irruption de ce pitre dans cette triste chambre d'hôpital qui sentait déjà la morgue le fit rire aux éclats, au grand scandale de la famille éplorée. Sans se soucier de tous ces affligés, Ed se précipita dans les bras de son ami, qu'il embrassa sans ménagement en le secouant comme un prunier tout en lui racontant des histoires drôles.
En un clin d'oeil, l'atmosphère morose de la chambre se transforma. Le malade pris d'un énorme fou rire se redressa et oublia ses souffrances et ses malheurs. Ed revint plusieurs jours de suite, vêtu d'accoutrements bizarres, débitant un lot d'histoires lestes ou drôles, si bien que sa présence attirait dans la chambre de son ami les malades du voisinage, les infirmières et même quelques médecins.
Quinze jours plus tard, à la grande suprise du corps médical, John Stuart Merill quittait l'hôpital, à peu près guéri. Après quinze jours de convalescence, il reprenait ses activités, et se retrouva dans la meilleure des formes. A qui voulait bien l'entendre, il jurait que c'était Ed qui l'avait guéri, en le faisant rire !
Témoignages ;
NORMAN COUSINS
L'été 1964, Norman Cousins, journaliste, est terrassé par un mal irréversible. Son état dégénère rapidement et voilà qu'il se retrouve à l'hôpital, incapable de dormir, avec des souffrances horribles.
Pourtant, Cousins refuse la fatalité et décide de lutter contre son mal. Il sait que ces sortes de maladies sont souvent provoquées par une carence en adrénaline. Il pense que dans son cas, son affection serait due à la tension affective et physique subie lors d'un voyage dramatique en Union Soviétique.
Cousins estime que si des émotions négatives peuvent perturber l'équilibre chimique du corps, des émotions positives amèneraient certainement des changements positifs. Il décide que l'optimisme et le rire sont peut-être le meilleur remède. Et il se met à regarder toutes les émissions drôles que pouvait lui procurer la télévision.
« Je fis cette merveilleuse découverte, écrira-t-il plus tard, que dix minutes de rire m'assuraient au moins deux heures de sommeil sans douleur.» Son état s'étant amélioré, Cousins quitte bientôt l'hôpital pour l'environnement plus gai d'une chambre d'hôtel où il peut visionner des films comiques à satiété, lire des livres drôles, rire aux éclats, et dormir comme il le souhaite.
Quelques semaines plus tard, la douleur disparaît et les médecins constatent sans l'expliquer que le tissu de sa colonne vertébrale et de ses articulations se régénèrent et que sa maladie irréversible régresse. Bientôt Cousins reprend son jogging quotidien et au bout de quelques mois, reprend son travail de journaliste.
Convaincu qu'il doit sa guérison à sa volonté de survivre et à sa cure de rire, Cousins écrira son étonnante expérience et en fera un bestseller.
(D'après "Faits étranges et récits extraordinaires" Sélection du Reader's Digest et 'The New-Yorker").
HENRI DURVILLE
Dans les années 20, le célèbre magnétiseur Henri Durville fut une fois encore traîné devant le tribunal de la Seine sous l'accusation d'exercice illégal de la médecine, comme l'avait déjà été maintes fois son père.
Or, durant le procès, Durville qui avait visiblement affaire à un juge hostile au magnétisme, observa que l'un de ses assesseurs, un homme maigre, au visage triste, souffrait d'une affection grave. Alors, sachant que de toute façon, devant un tel tribunal, sa cause serait perdue et qu'il écoperait du maximum, le thérapeute entreprit de mettre le nombreux public de la salle d'audience de son côté, en le faisant rire par la verve de ses répliques, mais, si possible, sans trop incommoder ses juges.
Doué de beaucoup d'humour, Henri Durville se mit à raconter avec drôlerie, en les mimant, des scènes vécues dans son cabinet, imitant tour à tour les patois paysans et les accents provinciaux de ses patients. A un moment donné, pointant son doigt vers l'assesseur qu'il savait malade mais pas incurable, il s'écria dans un franc éclat de rire, repris par la salle, et qui dérida jusqu'au juge :
- Oui, Messieurs, le magnétisme guérit, mais aussi le rire, le rire est un grand médecin, et je vais vous le prouver !
Voyez votre collègue ici présent, M. X, éminent assesseur de votre tribunal. Eh bien? Je vous le dis, et je n'ai pas besoin d'être membre de la Faculté pour le diagnostiquer ? M. X souffre, et souffre gravement ? Est-ce vrai ?
L'assesseur opina tristement du chef. Le juge voulut en revenir au sujet. Mais Durville insista :
- Eh bien, M. le Juge, avec votre permission je vais tenter de guérir votre distingué collaborateur. Mais pour ce faire, il me faut votre aide et celle du public. Nous devons faire rire cet homme souffrant, le faire rire aux éclats !
Et, s'avançant derechef vers l'assesseur, il éclata d'un grand et beau rire communicatif, relayé par la salle, et, fixant le malade dans les yeux, il lui dit :riez, et vous serez guéri !
La scène, au dire d'un témoin, avait quelque chose d'ubuesque et d'irréel. La salle était pliée en deux de rire, les gardes désopilés, juge, assesseurs et greffier hoquetants, hilares.
Alors Henri Durville, le prévenu, superbe, bombant le torse, les doigts des deux mains pointées horizontalement vers l'assesseur du tribunal qui entraîné par l'ambiance riait lui aussi aux éclats, affirma avec force : « Vous êtes guéri !»
Et, à la stupéfaction de la salle et du tribunal, il avoua qu'il l'était. (D'après "Le Magnétiseur français" ).
Témoignage :
SANS JOIE DE VIVRE, PAS DE GUÉRISON
--------------------------------------------------
Infirmière à la retraite, j'ai été durant plusieurs années l'assistante du professeur L., un grand patron de l'hôpital Saint-Louis à Paris.
Je me souviens que le professeur exigeait du personnel de son service et de ses internes qu'ils soient toujours gais et de bonne humeur. Il agrémentait ses visites de bons mots, s'efforçait de faire rire ses patients et avait coutume de dire : «Sans joie de vivre, pas de guérison.»
Il lui arrivait de chatouiller les enfants pour les faire rire (et même certains adultes, voire des grands-mères !)
Un jour, devant un lupus incurable, une affection très traumatisante qui défigurait la patiente et qu'il ne parvenait pas à enrayer, il décida d'arrêter tout traitement médical et d'entreprendre une cure psychologique.
Cette femme, une noire, avait connu beaucoup de malheurs dans sa vie. Le professeur L. prétendait que nombre de maladies sont d'origine psychosomatique. Alors il se mit à plaisanter avec cette femme, à la dérider, à lui raconter des blagues. Comme je lui demandais pourquoi il consacrait tant de temps à cette patiente, il me dit : - Je veux la guérir.
Longtemps taciturne, peu causante, d'humeur morose, elle se détendit et, attendait avec impatience la visite du "patron".
Un matin, il arriva avec une mini chaîne stéréo portable qu'il installa dans la chambre de la malade. Il s'assit familièrement sur le lit de sa patiente, glissa un disque compact dans le lecteur et mit l'appareil en route. Un solo de rire imprévu et communicatif jaillit des hauts parleurs et entraîna l'hilarité de toute l'assistance, de la patiente au dernier des internes.
A un moment donné, la malade fut prise d'un fou rire tel qu'elle hoqueta :
- Arrêtez ! C'est trop ! Je vais pisser dans ma chemise !
Eh bien, le lendemain, le lupus qui la défigurait était enrayé, une semaine plus tard, la patiente avait retrouvé un visage normal, sans croûtes ni pustules. Seules quelques traces roses persistaient. Un mois plus tard, elle était heureuse, souriante et guérie. Et c'était à une cure de rire qu'elle devait sa guérison.
Françoise L., Infirmière (D'après "Science & Magie").
Témoignage :
LA SANTÉ PAR LE RIRE
---------------------------
"Il faut rire avant que d'être heureux,
de peur de mourir sans avoir ri."
La Bruyère.
C'est que le rire est bien plus qu'un simple élargissement de l'ouverture de la bouche accompagné d'expirations saccadées plus ou moins bruyantes, comme l'explique le dictionnaire. Action positive, moyen de défense du système immunitaire, véritable jogging cérébral, le rire est le propre de l'homme...
Il est reconnu que le rire déclenche un certain nombre d'effets positifs sur l'organisme et que son utilité dans notre vie quotidienne n'est plus à démontrer. Lors de quelques expériences qui ont été menées ici et là, on a constaté, sur le plan médical, des améliorations et parfois même des guérisons.
Un des cas les plus spectaculaires est sans aucun doute celui de Norman Cousin, journaliste américain qui a guéri d'une spondylarthrite ankylosante, une très grave maladie inflammatoire des articulations et de la colonne vertébrale. Grâce au rire et à la vitamine C !
Le rire, un médicament
Le Docteur Henri Rubinstein, auteur de « La Psychosomatique du rire» est convaincu qu'avec le rire, on peut fabriquer son propre "Prozac" (un anxiolytiquc très en vogue actuellement.).
En effet, le rire libère des anxiétés, angoisses diverses et ce rôle libérateur apporté par le rire protège nos défenses immunitaires. Nous savons tous qu'un être pessimiste ira plus vite vers la dépression qu'un être optimiste qui, lui, ira plus vite vers la guérison.
L'application du rire en milieu hospitalier est indispensable à condition de mettre les malades en siruation de « fabricants » du rire et non en tant que simples spectateurs. Les enfants en sont les plus grands bénéficiaires.
La demande la plus importante vient des clubs de 3e âge. Ma première expérience s'est faite avec un club des Hauts-de-Seine, un petit groupe d'une dizaine de personnes. Moyenne d'âge :68 ans, le plus âgé ayant 81 ans.
Ayant visionné un de leurs spectacles de fin d'année, j'ai pu mettre au point un début de programme d'expression corporelle avec comme objectif, un spectacle à présenter en juin. Après quelques séances de mise en confiance, nous avons attaqué ensemble l'écriture du nouveau spectacle.
Les séances d'improvisations, les recherches de chansons, les idées ont suivi. Les rires sont nés au milieu de ce travail grâce à la spirale du plaisir qui s'est mise en place naturellement. Apprendre dans la détente, et le rire revient...
Si les maisons de retraite pouvaient former des équipes d'animation à la thérapie par le rire, elles seraient plus vivantes et la santé des personnes âgées s'en ressentirait.
En entreprise, le rire aura pour finalité une meilleure ambiance de travail, une meilleure écoute, une solidarité et une efficacité redoublée. N'oublions pas que le rire désarme l'agressivité.
Les dirigeants d'entreprise, les cadres et tous ceux qui ont des responsabilités ayant travaillé avec un thérapeute du rire, trouveront toujours le mot juste et la petite pointe d'humour qui donnera du ressort aux personnes au travail. Il n'est pas nécessaire de paraître sérieux pour enlever un marché...
A l'école
----------
Franchir les barrières de l'Éducation nationale pour installer un cours de rire dans les classes, reste une utopie. L'école est un lieu où le rire a du mal à être accepté. Quel enseignant ou quelle école osera prendre l'initiative d'instaurer un cours de rire une fois par semaine ou par quinzaine ?
Et pourtant le rire développe chez l'enfant, l'imagination, la création et diminue son agressivité. Le rire facilite également la communication entre élèves et enseignants.
Le rire en thérapie
----------------------
Plus étonnant, en Angleterre et surtout aux États-Unis, nombre de gens ont recours à un thérapeute du rire.
Imaginons que chaque hôpital ou que chaque clinique dispose d'un atelier de thérapie par le rire... Le rôle du thérapeute serait de réunir dans cet atelier des groupes de malades afin de leur apprendre à rire. Des malades en attente d'une intervention chirurgicale, par exemple.
Dans un premier temps, on leur apprendra à se relaxer afin d'éliminer l'appréhension de l'opération, de renforcer les défenses immunitaires, d'augmenter les énergies positives, d'où l'intérêt de pratiquer la thérapie par le rire, en groupe.
Après l'intervention, le travail sur le rire sera fonction des opérations subies. Autant éviter à un opéré fraîchement recousu de rire aux éclats... Mais, l'action positive qu'entraîne le rire sur l'organisme avant ou après une intervention chirurgicale, facilitera le travail de toute l'équipe médicale.
Le rire agira comme un puissant antidépresseur, un véritable stimulant psychique. Autre point important au moment où l'on recherche des solutions économiques ; le rire peut alléger les tensions sociales et soulager les comptes de la sécurité sociale... (Antoine ROGANI).
jaja- Nombre de messages : 32555
Age : 77
Localisation : Liège Belgique
Votre signature : faut que ça aille...sans alcool Invité
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Petit coin littérature
je suis en train de le terminer j ai eu beaucoup de points commun avec son entree avec LES AA livre vraiment ou on y sent la sincerites
Invité- Invité
GEGE- Nombre de messages : 10732
Age : 68
Localisation : NEUILLY /MARNE
Votre signature : " juste pour AUJOURD HUIIIIIIIIIIIIIIIII "
Date d'inscription : 30/04/2012
Re: Petit coin littérature
La femme et la rose
Dans la brume d’un soir d’automne
Les passants, en flot monotone,
S’écoulaient, visages fermés,
Gens mornes aux traits fatigués.
L’asphalte luisait, noir et moite,
Au long de la chaussée étroite
Qui mêle à l’ombre des auvents
Les pas des morts et des vivants.
Quand, sous l’éclat d’un réverbère,
Sortant d’une porte cochère,
Une Femme a soudain jailli,
Le regard grave et recueilli.
Éclairé par sa chevelure
Le noir seul était sa parure,
Pâle, elle tenait à la main
Une Rose au tendre carmin...
Que Dieu pour moi la remercie
De ce qui fut sa fantaisie :
Ce soir-là, passant à côté
Un instant j’ai vu la Beauté !
Dans la brume d’un soir d’automne
Les passants, en flot monotone,
S’écoulaient, visages fermés,
Gens mornes aux traits fatigués.
L’asphalte luisait, noir et moite,
Au long de la chaussée étroite
Qui mêle à l’ombre des auvents
Les pas des morts et des vivants.
Quand, sous l’éclat d’un réverbère,
Sortant d’une porte cochère,
Une Femme a soudain jailli,
Le regard grave et recueilli.
Éclairé par sa chevelure
Le noir seul était sa parure,
Pâle, elle tenait à la main
Une Rose au tendre carmin...
Que Dieu pour moi la remercie
De ce qui fut sa fantaisie :
Ce soir-là, passant à côté
Un instant j’ai vu la Beauté !
GEGE- Nombre de messages : 10732
Age : 68
Localisation : NEUILLY /MARNE
Votre signature : " juste pour AUJOURD HUIIIIIIIIIIIIIIIII "
Date d'inscription : 30/04/2012
Re: Petit coin littérature
:pleu: :brav: :brav: :brav: :brav: :brav: :brav: sacre gege et poete avec ça !!
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
"recherches toujours le meilleur,
attends-toi toujours au mieux
et, jamais à aucun moment, ne te
satisfais de ce qui serait moins bon ".
Eileen Caddy (La petite voix)
attends-toi toujours au mieux
et, jamais à aucun moment, ne te
satisfais de ce qui serait moins bon ".
Eileen Caddy (La petite voix)
GEGE- Nombre de messages : 10732
Age : 68
Localisation : NEUILLY /MARNE
Votre signature : " juste pour AUJOURD HUIIIIIIIIIIIIIIIII "
Date d'inscription : 30/04/2012
Re: Petit coin littérature
nos phrases
"L'important d'abord" |
"Pensez... Méditez ...Pensez" |
"Agir ... Aisément" |
"Vivre et laisser vivre" |
"Par la grâce de Dieu" |
"Savoir écouter, quelle force !" |
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Un grand pour nos slogans Lucas
de ton investissement profond pour ton rétablissement, c'est un plaisir de te lire
Bisou
Monique
de ton investissement profond pour ton rétablissement, c'est un plaisir de te lire
Bisou
Monique
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Tout à fait d'accord avec toi Monique et merci aussi à notre poète Gégé , merci Roro et Jaja
Marine- Nombre de messages : 7495
Age : 63
Localisation : Durbuy
Votre signature : Merci à toutes et tous, vous êtes formidables
Date d'inscription : 02/07/2014
Re: Petit coin littérature
Heuuuuuuuu lol
Marine- Nombre de messages : 7495
Age : 63
Localisation : Durbuy
Votre signature : Merci à toutes et tous, vous êtes formidables
Date d'inscription : 02/07/2014
Page 3 sur 32 • 1, 2, 3, 4 ... 17 ... 32
Page 3 sur 32
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum