Petit coin littérature
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Re: Petit coin littérature
Les six logiques magiques de " Le monde s'éveille grâce à vous "
Fais la paix avec ton passé pour ne pas qu'il pourrisse ton présent.
Ce que les autres pensent de toi ne sont pas tes oignons.
Le temps guérit presque tout; prends le temps de temps en temps.
Personne ne doit être la raison de ton bonheur , à part toi-même.
Ne compare pas ta vie à celle des autres ; tu n'as aucune idée de ce qu'ils ont vécu.
Arrête de réfléchir autant ; c'est pas mal de ne pas connaître toutes les réponses.
Fais la paix avec ton passé pour ne pas qu'il pourrisse ton présent.
Ce que les autres pensent de toi ne sont pas tes oignons.
Le temps guérit presque tout; prends le temps de temps en temps.
Personne ne doit être la raison de ton bonheur , à part toi-même.
Ne compare pas ta vie à celle des autres ; tu n'as aucune idée de ce qu'ils ont vécu.
Arrête de réfléchir autant ; c'est pas mal de ne pas connaître toutes les réponses.
jaja- Nombre de messages : 32567
Age : 77
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Votre signature : faut que ça aille...sans alcool Invité
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Petit coin littérature
Merci Jaja, la dernière phrase m'interpelle... Je vais y réfléchir......
Invité- Invité
Les quatre bougies
Quatre bougies brûlaient lentement. Il régnait un tel silence que l’on pouvait entendre leur conversation.
La première dit « Je suis la Paix ! Cependant, personne n’arrive à me maintenir allumée… je crois bien que je vais m’éteindre… »
Sa flamme diminua peu à peu, et disparut.
La seconde dit « Je suis la Foi ! Mais dorénavant, le monde pense que je ne suis plus indispensable… Ca n’a pas de sens que je reste allumée plus longtemps ! »
Et sitôt qu’elle eut fini de parler, une brise légère souffla sur elle et l’éteignit.
La troisième bougie se manifesta à son tour « Je suis l’Amour ! Mais je n’ai plus de force pour rester allumée. Les gens me laissent de côté et ne comprennent pas mon importance. Ils oublient même d’aimer ceux qui sont proches d’eux… »
Et sans un bruit, elle s’effaça à son tour.
Alors entra un enfant, qui vit les trois bougies éteintes.
« Mais pourquoi avez-vous cessé de brûler ? Vous deviez rester allumées jusqu’à la fin ! »
Et une larme glissa le long de sa joue…
Alors la quatrième bougie murmura « N’aies pas peur. Tant que j’ai ma flamme, nous pourrons rallumer les autres bougies. Je suis l’Espérance ! »
Alors, les yeux brillants, l’enfant prit la bougie de l’Espérance et ralluma les trois autres.
La première dit « Je suis la Paix ! Cependant, personne n’arrive à me maintenir allumée… je crois bien que je vais m’éteindre… »
Sa flamme diminua peu à peu, et disparut.
La seconde dit « Je suis la Foi ! Mais dorénavant, le monde pense que je ne suis plus indispensable… Ca n’a pas de sens que je reste allumée plus longtemps ! »
Et sitôt qu’elle eut fini de parler, une brise légère souffla sur elle et l’éteignit.
La troisième bougie se manifesta à son tour « Je suis l’Amour ! Mais je n’ai plus de force pour rester allumée. Les gens me laissent de côté et ne comprennent pas mon importance. Ils oublient même d’aimer ceux qui sont proches d’eux… »
Et sans un bruit, elle s’effaça à son tour.
Alors entra un enfant, qui vit les trois bougies éteintes.
« Mais pourquoi avez-vous cessé de brûler ? Vous deviez rester allumées jusqu’à la fin ! »
Et une larme glissa le long de sa joue…
Alors la quatrième bougie murmura « N’aies pas peur. Tant que j’ai ma flamme, nous pourrons rallumer les autres bougies. Je suis l’Espérance ! »
Alors, les yeux brillants, l’enfant prit la bougie de l’Espérance et ralluma les trois autres.
Laude- Nombre de messages : 6448
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Localisation : Angleur / Belgique
Votre signature : Vivre le moment présent
Date d'inscription : 08/11/2010
Re: Petit coin littérature
J'adore cette histoire au sujet de l'Espérance, Laude. Merci !
Sarcelle
Sarcelle
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
La pensée positive pour être en meilleure santé
Apparue dans les années 1950, la pensée positive permettrait de rester en bonne santé physique et mentale, augmenterait la longévité et favoriserait le succès dans la vie personnelle et professionnelle. Qu’est-ce que la pensée positive ? Quels sont ses bienfaits ? Zoom sur ce mouvement en pleine expansion.
La pensée positive, c'est quoi ?
Ce concept est né au milieu du XXème siècle, notamment avec la parution en 1952 de l’ouvrage « Puissance de la pensée positive » de Vincent Norman Peale, pasteur et auteur américain. Bien qu’il se soit vendu à plusieurs millions d’exemplaires, il reste à cette époque un grand sujet de controverse : on reproche à l’ouvrage de trop s’adresser aux croyants du christianisme.
La pensée positive est étroitement liée avec la notion d’optimisme, une personne qui perçoit le monde de manière positive et qui voit le « bon côté des choses » se sentira en meilleure santé mentale et physique qu’une personne qui pense négativement, anxieuse, voire déprimée. La pensée positive n’est pas un concept nouveau, la méthode Coué, mise au point par le pharmacien et psychologue Français Emile Coué, a été présentée pour la toute première fois en 1926 dans l’ouvrage « La maîtrise de soi-même par l’autosuggestion conscient ». C’est une méthode thérapeutique fondée sur l’autosuggestion et qui a pour objectif de faire adhérer le patient aux idées positives. En répétant une vingtaine de fois par jour des messages positifs du type « je suis heureux » ou « je vais de mieux en mieux », l’individu est censé accéder au bien-être et atteindre une santé optimale.
Au milieu des années 60, Norman Cousins, un professeur et journaliste américain, est frappé par une maladie arthritique soi-disant incurable et extrêmement douloureuse. Son état de santé se dégradant très rapidement, il décide d’utiliser la pensée positive et la thérapie par le rire pour favoriser sa guérison. La méthode thérapeutique consistait à visionner régulièrement des films comiques et à consommer en grande quantité de la vitamine C. Six mois plus tard, Norman Cousins était complètement guéri.
Les principes de la pensée positive
En se basant sur des émotions agréables, la pensée positive permettrait d’atteindre un meilleur bien-être général, elle rendrait également plus performant et augmenterait les chances de réussite dans la vie professionnelle et personnelle. En d’autres mots, il s’agit de rester optimiste en toutes circonstances. A contrario, une personne dont les pensées sont souvent négatives se décourage vite et atteint difficilement les objectifs qu’elle s’est fixée. La pensée négative freinerait la réussite et favoriserait les états dépressifs.
La pensée positive n’est pas un concept inné, il est nécessaire d’effectuer un travail sur soi-même pour réussir à l’assimiler. Tout d’abord, il faut apprendre à créer des pensées et des émotions positives : par exemple, face à une situation difficile, il faut se dire « je vais atteindre mes objectifs », « je peux le faire facilement » ou « je crois en mes capacités. » Les phrases construites dans une forme positive et formulées au présent de l’indicatif doivent être préférées aux phrases à connotation négative et formulées au futur simple (« je réussis petit à petit à diminuer la cigarette » plutôt que « « je ne fumerais plus. ») Il s’agit ensuite de répéter régulièrement ces pensées positives afin de les intégrer, petit à petit, au subconscient.
L’autosuggestion ne suffit pas, la pensée positive repose sur 2 autres principes fondamentaux
L’émotion. Ressentir des émotions positives (joie, satisfaction, humour, amitié, amour…) pendant la formulation permet de renforcer les pensées positives.
La conviction. Se convaincre de la véracité des formulations facilite l’intégration des pensées positives. Il faut croire en ce que l’on dit ou pense, tout comme un acteur rentre dans la peau de son personnage et convainc le public.
De nos jours, de plus en plus de chercheurs se penchent sur la question de la pensée positive pour avoir une meilleure santé physique et mentale. En 2002, une étude américaine menée auprès de 660 personnes a montré que l’optimisme et la pensée positive permettaient de vivre plus longtemps et en meilleure santé. Les chercheurs ont comparé les réponses données par les participants en 1975 lors d’une enquête longitudinale sur le vieillissement et la retraite, puis ils les ont corrélés aux données de mortalité, plus précisément à l’âge auquel certains participants sont décédés. Toutes les personnes qui avaient une perception positive du vieillissement ont vécu en moyenne 7,5 années de plus que celles qui se sont montrées plus pessimistes, indépendamment d’autres facteurs de risque tels que l’âge, le sexe, la santé fonctionnelle, la solitude…
Vivre mieux et plus longtemps grâce à la pensée positive
Une autre étude2 de l’Université du Wisconsin-Madison, publiée en 2003 et menée auprès de 52 personnes âgées entre 57 et 60 ans a démontré que le système immunitaire était plus performant chez celles qui percevaient la vie de manière positive. Au cours de cette étude, les chercheurs ont vaccinés tous les participants contre le virus de la grippe mais avant la vaccination, ils ont enregistré leur activité cérébrale en même temps que les sujets se remémoraient un souvenir heureux et un souvenir triste. Les participants ont dû également écrire pendant 5 minutes sur ces différents souvenirs pendant que leur activité cérébrale était enregistrée. Six mois plus tard, les résultats de l’étude ont révélé que les personnes qui présentaient une plus grande activité dans la partie gauche du cortex préfrontal, partie cérébrale associée aux émotions positives, avaient un nombre d’anticorps contre la grippe beaucoup plus élevé que celles chez qui l’activité dans la partie droite du cortex préfrontal (= émotions négatives) était plus importante.
Prudence tout de même, une récente étude canadienne3 a révélé que la pensée positive entraînerait de légers bénéfices chez les personnes ayant une bonne estime d’elles-mêmes mais pas chez celles qui ont une faible estime d’elles-mêmes. La méthode de l’autosuggestion aggraverait même l’état d’esprit dans lequel se trouvent les personnes qui pensent ne rien valoir.
Un sommeil suffisant favorable à la pensée positive
Un sommeil suffisant et de qualité favoriserait les pensées positives et chasserait, à l’inverse, les pensées négatives répétitives. C’est ce que révèle une récente étude menée à l’Université de Binghamton auprès d’une centaine d’étudiants. Pendant plusieurs mois, les participants ont dû répondre à des questionnaires sur la durée et la qualité de leur sommeil, ils ont également été soumis à plusieurs exercices sur ordinateur censés évaluer la fréquence et l’intensité des pensées négatives. Les résultats ont démontré que les participants qui avaient une meilleure qualité de sommeil et qui se couchaient régulièrement plus tôt étaient moins sujets aux pensées noires et donc moins anxieux que ceux chez qui le sommeil s’avérait insuffisant et de mauvaise qualité.
Selon les chercheurs, la pensée négative répétitive, un des symptômes majeurs du stress chronique, de l’anxiété, voire de la dépression, survient généralement en fin de soirée. De ce fait, aller se coucher un peu plus tôt qu’à l’accoutumée permettrait de bloquer l’apparition des pensées négatives et intrusives. Finalement, un sommeil suffisant et de qualité serait un allié de choix pour développer la pensée positive et se sentir mieux au quotidien.
(extrait de passeportsante.net)
jaja- Nombre de messages : 32567
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Votre signature : faut que ça aille...sans alcool Invité
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Petit coin littérature
Merci mon cher Jaja je l'ai imprimer aussi pour ma femme...
pascal-17- Nombre de messages : 2630
Age : 58
Localisation : Nord Haute Vienne
Votre signature : Au royaume de l'espoir , il n'y a pas d'hiver!
Vivre pleinement chaque jour !
Graatitude
Date d'inscription : 22/02/2014
Re: Petit coin littérature
Merci Cher Jaja , j'en prend bonne note , ma journée sera bonne et je serai heureuse :sup:
, déjà très heureuse de vous connaître tous et toutes
, déjà très heureuse de vous connaître tous et toutes
Marine- Nombre de messages : 7495
Age : 63
Localisation : Durbuy
Votre signature : Merci à toutes et tous, vous êtes formidables
Date d'inscription : 02/07/2014
Re: Petit coin littérature
Voici une histoire très touchante...
Un jour, durant mes premières années de secondaire,
j'ai aperçu un gars de ma classe
qui retournait à la maison après l'école.
Il s'appelait "Kyle". On aurait dit qu'il
transportait tous ses livres et son matériel scolaire!
Je me suis dit " Pourquoi quelqu'un apporterait-il
tous ses livres un vendredi soir.
Il doit vraiment être un "nerd "...".
De mon côté, j'avais tout un week-end de planifié :
Sorties et partie de football avec mes amis.
Comme je passais près de lui,
un groupe de jeunes ont commencé
à se moquer de Kyle. Ils le pinçaient, ont fait
tomber ses livres et l'ont même poussé dans la boue.
Quand il est tombé, ses lunettes ont atterri
quelques pieds plus loin, dans le gazon.
Kyle a levé la tête et j'ai vu combien il était
triste et désorienté. J'ai vraiment ressenti un élan
de pitié pour lui...
Alors, j'ai couru jusqu'à lui et j'ai ramassé ses lunettes.Lorsqu'il a levé la tête vers moi,
j'ai vu quelques larmes dans ses yeux.
Ces gars-là étaient vraiment des imbéciles ",
Lui ai-je dit. Il m'a regardé et m'a remercié.
Il avait un énorme sourire dans lequel on pouvait voir toute
la gratitude du monde!
En l'aidant à ramasser ses livres, je lui ai demandé
où il habitait. J'ai été surpris de voir qu'il
habitait tout près de chez moi.
Il m'a alors expliqué qu'il allait auparavant
dans une école privée.
Je ne pensais jamais un jour être un copain avec un
petit " prep "...Nous avons parlé tout au long du chemin.
Il s'est révélé être un très bon gars.
Je lui ai alors demandé s'il voulait venir jouer au football
avec mes copains et moi le lendemain.
Il s'est empressé d'accepter.
Nous avons donc passé le week-end ensemble et,
plus le temps avançait, plus je me rendais compte que Kyle
était vraiment quelqu'un de bien.
D'ailleurs, mes amis aussi pensaient la même chose.
Le lundi matin, j'ai encore aperçu Kyle qui
retournait à l'école avec sa pile de livres.
Je l'ai rejoint encore une fois et lui ai dit:
" Wow! Tu finiras par avoir des muscles d'acier
à trimbaler tes livres comme ça!!!"
Il a bien ri et m'a passé la moitié de ses livres.
Durant les années qui ont suivi, nous sommes devenus
les meilleurs copains du monde.
Kyle était vraiment un élève très intelligent;
il voulait faire sa médecine tandis que moi,
j'allais finalement à l'université
grâce à une bourse de football!
Je l'agaçais tout le temps
en lui disant qu'il n'était qu'un " nerd"!
Pour notre graduation, Kyle devait préparer un discours.
J'étais bien content que ce ne soit pas moi!
Kyle était devenu un jeune homme bien dans sa peau,
qui plaisait beaucoup aux filles...
D'ailleurs, il faisait beaucoup plus de conquêtes que moi!
La journée de la graduation, je voyais bien que Kyle
était nerveux. Pour le rassurer, je lui ai donné une
bonne tape dans le dos en lui disant:
" Ne t'inquiète pas, tu vas être génial! "
Il m'a encore regardé avec un de ses regards,
celui plein de gratitude, et m'a remercié.
Lorsqu'il est arrivé devant le micro,
il s'est éclairci la gorge et a commencé son discours :
" Une graduation, c'est le moment idéal pour
remercier tous ceux qui nous ont aidé
durant toutes nos années du secondaire.
Nos parents, nos professeurs, nos entraîneurs...
mais surtout nos amis. Je suis ici pour vous dire
qu'être l'ami de quelqu'un,
c'est le plus beau cadeau qu'on peut lui donner.
Je vais vous raconter une histoire...
"J'étais vraiment très surpris lorsqu'il a commencé à raconter
notre première rencontre... Mais j'ai été encore plus
estomaqué lorsqu'il a raconté que cette fameuse fin
de semaine-là, il avait prévu de se suicider...
C'est pourquoi il avait apporté tous ses livres,
pour que sa mère ne soit pas obligée
de faire le ménage de son casier...
Il m'a regardé et m'a fait un sourire :
" Heureusement, j'ai été sauvé. Mon ami m'a empêché de
commettre l'irréparable. "
J'ai entendu le silence provoqué par son discours
dans la salle; le discours d'un jeune homme
distingué, beau bonhomme, intelligent et populaire...
Je me suis retourné et j'ai vu ses parents qui m'ont
souri avec le même regard plein de gratitude que Kyle
avait eu à mon égard.
Je n'avais jamais réalisé à quel point
cette journée avait été bienfaitrice pour lui.
Ne sous-estimez jamais le pouvoir de vos actions.
Avec un simple petit geste, on peut changer la vie
d'une personne... pour le meilleur ou le pire.
Nous avons tous un impact
dans la vie de tous les gens que nous rencontrons.
Les amis sont des anges
qui nous remettent sur nos pieds
quand nos ailes ne savent plus comment voler.
Un jour, durant mes premières années de secondaire,
j'ai aperçu un gars de ma classe
qui retournait à la maison après l'école.
Il s'appelait "Kyle". On aurait dit qu'il
transportait tous ses livres et son matériel scolaire!
Je me suis dit " Pourquoi quelqu'un apporterait-il
tous ses livres un vendredi soir.
Il doit vraiment être un "nerd "...".
De mon côté, j'avais tout un week-end de planifié :
Sorties et partie de football avec mes amis.
Comme je passais près de lui,
un groupe de jeunes ont commencé
à se moquer de Kyle. Ils le pinçaient, ont fait
tomber ses livres et l'ont même poussé dans la boue.
Quand il est tombé, ses lunettes ont atterri
quelques pieds plus loin, dans le gazon.
Kyle a levé la tête et j'ai vu combien il était
triste et désorienté. J'ai vraiment ressenti un élan
de pitié pour lui...
Alors, j'ai couru jusqu'à lui et j'ai ramassé ses lunettes.Lorsqu'il a levé la tête vers moi,
j'ai vu quelques larmes dans ses yeux.
Ces gars-là étaient vraiment des imbéciles ",
Lui ai-je dit. Il m'a regardé et m'a remercié.
Il avait un énorme sourire dans lequel on pouvait voir toute
la gratitude du monde!
En l'aidant à ramasser ses livres, je lui ai demandé
où il habitait. J'ai été surpris de voir qu'il
habitait tout près de chez moi.
Il m'a alors expliqué qu'il allait auparavant
dans une école privée.
Je ne pensais jamais un jour être un copain avec un
petit " prep "...Nous avons parlé tout au long du chemin.
Il s'est révélé être un très bon gars.
Je lui ai alors demandé s'il voulait venir jouer au football
avec mes copains et moi le lendemain.
Il s'est empressé d'accepter.
Nous avons donc passé le week-end ensemble et,
plus le temps avançait, plus je me rendais compte que Kyle
était vraiment quelqu'un de bien.
D'ailleurs, mes amis aussi pensaient la même chose.
Le lundi matin, j'ai encore aperçu Kyle qui
retournait à l'école avec sa pile de livres.
Je l'ai rejoint encore une fois et lui ai dit:
" Wow! Tu finiras par avoir des muscles d'acier
à trimbaler tes livres comme ça!!!"
Il a bien ri et m'a passé la moitié de ses livres.
Durant les années qui ont suivi, nous sommes devenus
les meilleurs copains du monde.
Kyle était vraiment un élève très intelligent;
il voulait faire sa médecine tandis que moi,
j'allais finalement à l'université
grâce à une bourse de football!
Je l'agaçais tout le temps
en lui disant qu'il n'était qu'un " nerd"!
Pour notre graduation, Kyle devait préparer un discours.
J'étais bien content que ce ne soit pas moi!
Kyle était devenu un jeune homme bien dans sa peau,
qui plaisait beaucoup aux filles...
D'ailleurs, il faisait beaucoup plus de conquêtes que moi!
La journée de la graduation, je voyais bien que Kyle
était nerveux. Pour le rassurer, je lui ai donné une
bonne tape dans le dos en lui disant:
" Ne t'inquiète pas, tu vas être génial! "
Il m'a encore regardé avec un de ses regards,
celui plein de gratitude, et m'a remercié.
Lorsqu'il est arrivé devant le micro,
il s'est éclairci la gorge et a commencé son discours :
" Une graduation, c'est le moment idéal pour
remercier tous ceux qui nous ont aidé
durant toutes nos années du secondaire.
Nos parents, nos professeurs, nos entraîneurs...
mais surtout nos amis. Je suis ici pour vous dire
qu'être l'ami de quelqu'un,
c'est le plus beau cadeau qu'on peut lui donner.
Je vais vous raconter une histoire...
"J'étais vraiment très surpris lorsqu'il a commencé à raconter
notre première rencontre... Mais j'ai été encore plus
estomaqué lorsqu'il a raconté que cette fameuse fin
de semaine-là, il avait prévu de se suicider...
C'est pourquoi il avait apporté tous ses livres,
pour que sa mère ne soit pas obligée
de faire le ménage de son casier...
Il m'a regardé et m'a fait un sourire :
" Heureusement, j'ai été sauvé. Mon ami m'a empêché de
commettre l'irréparable. "
J'ai entendu le silence provoqué par son discours
dans la salle; le discours d'un jeune homme
distingué, beau bonhomme, intelligent et populaire...
Je me suis retourné et j'ai vu ses parents qui m'ont
souri avec le même regard plein de gratitude que Kyle
avait eu à mon égard.
Je n'avais jamais réalisé à quel point
cette journée avait été bienfaitrice pour lui.
Ne sous-estimez jamais le pouvoir de vos actions.
Avec un simple petit geste, on peut changer la vie
d'une personne... pour le meilleur ou le pire.
Nous avons tous un impact
dans la vie de tous les gens que nous rencontrons.
Les amis sont des anges
qui nous remettent sur nos pieds
quand nos ailes ne savent plus comment voler.
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Merci Roro , c'est très beau!
Marine- Nombre de messages : 7495
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GEGE- Nombre de messages : 10733
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Laude- Nombre de messages : 6448
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Votre signature : Vivre le moment présent
Date d'inscription : 08/11/2010
Re: Petit coin littérature
Mon engagement aujourd'hui: '' J'utilise mes déceptions comme tremplins plutôt que de lutter contre ce que je ne peux changer.''
Des brouillons: '' Pourquoi attendre d'avoir du recul pour comprendre l'utilité de nos échecs? Nous pouvons les voir dès maintenant comme le brouillon de notre avenir et, ainsi, rester positif quoi qu'il arrive.
Nous nous libérons d'un poids énorme, lorsque nous décidons que rien n'arrive sans raison, et que tout peut nous être utile. ''
Reflexion: '' Le projet est le brouillon de l'avenir. Parfois, il faut à l'avenir des centaines de brouillons. ''
( JULES RENARD )
Des brouillons: '' Pourquoi attendre d'avoir du recul pour comprendre l'utilité de nos échecs? Nous pouvons les voir dès maintenant comme le brouillon de notre avenir et, ainsi, rester positif quoi qu'il arrive.
Nous nous libérons d'un poids énorme, lorsque nous décidons que rien n'arrive sans raison, et que tout peut nous être utile. ''
Reflexion: '' Le projet est le brouillon de l'avenir. Parfois, il faut à l'avenir des centaines de brouillons. ''
( JULES RENARD )
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
par Henri Gougaud
L'ENFER LE PARADIS ... ( conte de Henri Gougaud)
Ti-Jean était de ces vauriens qui ont leurs entrées chez les anges.
Les fées, les démons, les archanges, les quatre filles de Satan étaient de ses fréquentations. Bref, il était partout chez lui.
Il se trouva donc, un beau jour, en vacances dans l’au-delà, invité par saint Théodule, un vieil ami de ses parents.
Le bienheureux lui proposa (il voulait lui faire plaisir) quelques visites culturelles au musée de l’art de mourir, au palais du roi des fantômes, au zoo des bêtes à Bon Dieu et autres lieux du pays ordinairement fréquentés par les touristes trépassés.
Ti-Jean consulta les brochures que lui vantait le saint patron, puis il fit la moue et lui dit :
- Ta générosité m’émeut, mais des parcs et des monuments nous en avons chez les vivants à ne plus savoir où les mettre.
Par contre, nous ne connaissons, dans nos royaumes rationnels, que des paradis minuscules et de ridicules enfers.
J’aimerai visiter les vrais.
- Rien de plus simple mon garçon, lui répondit l’auréolé.
Les voilà donc au seuil discret d’un de ces restaurants de luxe où l’on ne parle qu’à mi-voix.
Deux laquais devant eux se courbent, leur prennent vestes et chapeaux.
- Au sous-sol, messieurs ? À l’étage ?
- Au sous-sol, dit saint Théodule.
Rectification de cravate, clin d’oeil à Ti-Jean ébahi.
- Mieux vaut commencer par l’enfer.
Après toi. Attention aux marches.
Ils y descendent. Et que voient-ils ?
Une immense salle à manger aux quatre murs indiscernables, une table unique mais longue, si longue qu’elle se perd au loin, dans les brumes de l’infini.
Sur cette table, des soupières parfumées comme à la Noël, des langoustes, des plats de riz, de la viande aux épices rares, des desserts à la chantilly, bref un festin de rois gourmands.
Mille convives se font face, chacun armé d’une cuillere au manche plus long que le bras.
Chacun l’emplit, mais comment faire pour la retourner proprement vers la bouche tordue, béante ? Ce diable de manche est trop long !
On râle, on peste, on tend le cou, on en tombe sur le parquet, on se barbouille le plastron, on meurt de faim dans l’abondance.
- Ils sont stupides, dit Ti-Jean.
- Non, damnés, répond Théodule.
Viens à l’étage maintenant.
Ils remontent. Rez-de-chaussée, escalier raide et là, surprise. Même salle de restaurant, même table aux fonds embrumés, même festin, mêmes convives, même cuilleres démesurées.
Mais on mange, ici, on savoure, on se pourlèche, on rit aussi.
Chacun nourrit celui d’en face.
Ti-Jean sourit.
- Le paradis ?
- Tout juste, répond Théodule. J’ai un creux. Allons déjeuner.
L'ENFER LE PARADIS ... ( conte de Henri Gougaud)
Ti-Jean était de ces vauriens qui ont leurs entrées chez les anges.
Les fées, les démons, les archanges, les quatre filles de Satan étaient de ses fréquentations. Bref, il était partout chez lui.
Il se trouva donc, un beau jour, en vacances dans l’au-delà, invité par saint Théodule, un vieil ami de ses parents.
Le bienheureux lui proposa (il voulait lui faire plaisir) quelques visites culturelles au musée de l’art de mourir, au palais du roi des fantômes, au zoo des bêtes à Bon Dieu et autres lieux du pays ordinairement fréquentés par les touristes trépassés.
Ti-Jean consulta les brochures que lui vantait le saint patron, puis il fit la moue et lui dit :
- Ta générosité m’émeut, mais des parcs et des monuments nous en avons chez les vivants à ne plus savoir où les mettre.
Par contre, nous ne connaissons, dans nos royaumes rationnels, que des paradis minuscules et de ridicules enfers.
J’aimerai visiter les vrais.
- Rien de plus simple mon garçon, lui répondit l’auréolé.
Les voilà donc au seuil discret d’un de ces restaurants de luxe où l’on ne parle qu’à mi-voix.
Deux laquais devant eux se courbent, leur prennent vestes et chapeaux.
- Au sous-sol, messieurs ? À l’étage ?
- Au sous-sol, dit saint Théodule.
Rectification de cravate, clin d’oeil à Ti-Jean ébahi.
- Mieux vaut commencer par l’enfer.
Après toi. Attention aux marches.
Ils y descendent. Et que voient-ils ?
Une immense salle à manger aux quatre murs indiscernables, une table unique mais longue, si longue qu’elle se perd au loin, dans les brumes de l’infini.
Sur cette table, des soupières parfumées comme à la Noël, des langoustes, des plats de riz, de la viande aux épices rares, des desserts à la chantilly, bref un festin de rois gourmands.
Mille convives se font face, chacun armé d’une cuillere au manche plus long que le bras.
Chacun l’emplit, mais comment faire pour la retourner proprement vers la bouche tordue, béante ? Ce diable de manche est trop long !
On râle, on peste, on tend le cou, on en tombe sur le parquet, on se barbouille le plastron, on meurt de faim dans l’abondance.
- Ils sont stupides, dit Ti-Jean.
- Non, damnés, répond Théodule.
Viens à l’étage maintenant.
Ils remontent. Rez-de-chaussée, escalier raide et là, surprise. Même salle de restaurant, même table aux fonds embrumés, même festin, mêmes convives, même cuilleres démesurées.
Mais on mange, ici, on savoure, on se pourlèche, on rit aussi.
Chacun nourrit celui d’en face.
Ti-Jean sourit.
- Le paradis ?
- Tout juste, répond Théodule. J’ai un creux. Allons déjeuner.
Laude- Nombre de messages : 6448
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Localisation : Angleur / Belgique
Votre signature : Vivre le moment présent
Date d'inscription : 08/11/2010
Re: Petit coin littérature
« Le jour où je me suis aimé pour vrai »
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances,j’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me détendre.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelles n’étaient rien d’autre qu’un signal d’alarme pour m’indiquer que suis en train d’aller contre mes convictions.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive, contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Respect.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire … personnes, situations, tout ce qui baissait mon niveau d’énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Amour de soi.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison. Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui j’ai découvert l’… Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et ça s’appelle… Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux.
Tout ceci est… Savoir-vivre. »
Charlie Chaplin
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Re: Petit coin littérature
Les 30 leçons de vie d’Albert Einstein
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Albert Einstein était plus qu’un simple scientifique. Voici 30 leçons de vie incroyables qui viennent de l’homme lui-même !
1. L’étudiant n’est pas un conteneur que vous devez remplir, mais une torche que vous devez allumer.
2. La croissance intellectuelle devrait commencer à la naissance et ne cesser qu’à la mort.
3. Chacun doit être respecté dans sa personne et nul ne doit être idolâtré.
4. Ne jamais faire quelque chose contre sa conscience même si c’est l’État qui l’ordonne.
5. Si les gens ne sont bons que parce qu’ils craignent un châtiment, et en espèrent une récompense, alors l’ensemble de l’humanité est vraiment une bande lamentable.
6. La perfection des moyens et la confusion des buts semblent caractériser notre époque.
7. L’amour est meilleur professeur que l’obligation.
8. Si vous ne pouvez pas l’expliquer simplement, c’est que vous ne l’avez pas suffisamment bien compris.
9. Aucun problème ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l’a engendré.
10. Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé.
11. La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir.
12. La distinction entre le passé, le présent, le futur n’est qu’une illusion, aussi tenace soit-elle.
13. Je ne crois point, au sens philosophique du terme, à la liberté de l’homme. Chacun agit non seulement sous une contrainte extérieure, mais aussi d’après une nécessité intérieure.
14. La logique te mènera de A à Z; L’imagination te mènera partout.
15. La chose la plus incompréhensible sur le monde est qu’il est compréhensible.
16. L’imagination est plus importante que le savoir. Le savoir est limité. L’imagination encercle le monde.
17. Si vous voulez que vos enfants soient intelligents, lisez-leur des contes de fée. Si vous voulez qu’ils soient plus intelligents, lisez-leur plus de contes de fée.
18. L’éducation est ce qui reste après qu’on ait oublié ce qu’on a appris à l’école.
19. N’importe quel imbécile peut savoir. Mais comprendre est ce qui importe.
20. Je suis reconnaissant envers ceux qui m’ont dit NON, car c’est grâce à eux que je l’ai fait par moi-même.
21. L’imagination représente tout. C’est un aperçu du futur de votre vie. L’imagination est bien plus importante que la connaissance.
22. Une personne qui n’a jamais fait d’erreurs n’a jamais pris de risques.
23. L’information n’est pas une connaissance. La seule source de connaissance est l’expérience.
24. Apprendre d’hier, vivre pour aujourd’hui et espérer pour demain.
25. Apprenez les règles du jeu pour vous en servir pour aller plus vite et plus loin.
26. N’essayez pas d’avoir du succès, apportez de la valeur ajoutée via les connaissances et le talent que vous avez naturellement.
27. La créativité est contagieuse, transmettez-la.
28. Je n’ai pas fait une seule de mes découvertes par un processus de pensée rationnelle.
29. Nous savons de la vie quotidienne que nous existons d’abord pour d’autres personnes, car de leur sourire et de leur bien-être dépend notre propre bonheur.
30. Faites toujours ce qui est droit, cela va satisfaire les uns et étonner les autres
Source : www.espritsciencemetaphysiques.com
.
"Chemin de Vie" de Dominique Jeanneret, blog sur lequel vous pouvez vous inscrire
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Albert Einstein était plus qu’un simple scientifique. Voici 30 leçons de vie incroyables qui viennent de l’homme lui-même !
1. L’étudiant n’est pas un conteneur que vous devez remplir, mais une torche que vous devez allumer.
2. La croissance intellectuelle devrait commencer à la naissance et ne cesser qu’à la mort.
3. Chacun doit être respecté dans sa personne et nul ne doit être idolâtré.
4. Ne jamais faire quelque chose contre sa conscience même si c’est l’État qui l’ordonne.
5. Si les gens ne sont bons que parce qu’ils craignent un châtiment, et en espèrent une récompense, alors l’ensemble de l’humanité est vraiment une bande lamentable.
6. La perfection des moyens et la confusion des buts semblent caractériser notre époque.
7. L’amour est meilleur professeur que l’obligation.
8. Si vous ne pouvez pas l’expliquer simplement, c’est que vous ne l’avez pas suffisamment bien compris.
9. Aucun problème ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l’a engendré.
10. Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé.
11. La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir.
12. La distinction entre le passé, le présent, le futur n’est qu’une illusion, aussi tenace soit-elle.
13. Je ne crois point, au sens philosophique du terme, à la liberté de l’homme. Chacun agit non seulement sous une contrainte extérieure, mais aussi d’après une nécessité intérieure.
14. La logique te mènera de A à Z; L’imagination te mènera partout.
15. La chose la plus incompréhensible sur le monde est qu’il est compréhensible.
16. L’imagination est plus importante que le savoir. Le savoir est limité. L’imagination encercle le monde.
17. Si vous voulez que vos enfants soient intelligents, lisez-leur des contes de fée. Si vous voulez qu’ils soient plus intelligents, lisez-leur plus de contes de fée.
18. L’éducation est ce qui reste après qu’on ait oublié ce qu’on a appris à l’école.
19. N’importe quel imbécile peut savoir. Mais comprendre est ce qui importe.
20. Je suis reconnaissant envers ceux qui m’ont dit NON, car c’est grâce à eux que je l’ai fait par moi-même.
21. L’imagination représente tout. C’est un aperçu du futur de votre vie. L’imagination est bien plus importante que la connaissance.
22. Une personne qui n’a jamais fait d’erreurs n’a jamais pris de risques.
23. L’information n’est pas une connaissance. La seule source de connaissance est l’expérience.
24. Apprendre d’hier, vivre pour aujourd’hui et espérer pour demain.
25. Apprenez les règles du jeu pour vous en servir pour aller plus vite et plus loin.
26. N’essayez pas d’avoir du succès, apportez de la valeur ajoutée via les connaissances et le talent que vous avez naturellement.
27. La créativité est contagieuse, transmettez-la.
28. Je n’ai pas fait une seule de mes découvertes par un processus de pensée rationnelle.
29. Nous savons de la vie quotidienne que nous existons d’abord pour d’autres personnes, car de leur sourire et de leur bien-être dépend notre propre bonheur.
30. Faites toujours ce qui est droit, cela va satisfaire les uns et étonner les autres
Source : www.espritsciencemetaphysiques.com
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Re: Petit coin littérature
Merci Jaja pour ce lien ou je vais m'inscrire , très bien fait!
Marine- Nombre de messages : 7495
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Votre signature : Merci à toutes et tous, vous êtes formidables
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Oui, j'avais vu l'affiche
lu sur le blog de Paris La Défense
Publié le 29 septembre 2008 par kreizker
Publié le 29 septembre 2008 par kreizker
[size=35]Oui, j'avais vu l'affiche....[/size]
Oui j’avais vu l’affiche….oui je sais que j’ai un problème avec l’alcool. Je savais depuis longtemps que j’étais concerné mais je n’osais pas….il y a le travail, il y a les collègues, il y a mon emploi du temps. C’est trop compliqué !
Oui j’avais honte. Je sais que cela peut paraitre ridicule. Avoir des responsabilités, être reconnu socialement, être respecté, et cependant être rouge de honte à l’évocation de sa maladie. J’ai culpabilisé d’être alcoolique. Tellement de personnes autour de moi, dans ma famille, dans mon entourage, tellement de battage dans les médias….toute cette pression qui rend cette maladie honteuse. Oui, être incapable de dire non à un verre d’alcool alors que l’on est capable de dire non à un fournisseur, à un client, à sa famille ! On est à la fois beaucoup et bien peu de choses.
Oui, j’avais peur. En voyant l‘affiche, je me suis dit en mon for intérieur que cela pourrait peut être m’aider à m’en sortir. Je suis très soucieux de ma sécurité, de mon anonymat, et que se passerait-il si je rencontrais une connaissance ?
Oui, je craignais l’incompréhension. Lorsque vous dites à vos collègues que vous avez un cancer, on en parle, on compatit, on ne juge pas. Lorsque vous êtes alcoolique, on vous regarde de travers. Moi-même, lorsque j’ai dit un mon meilleur ami au bureau que j’étais alcoolique, il m’a dit « pas toi, ce n’est pas possible, tu n’es pas alcoolique ! ».
Parbleu, si ! J’ai mis du temps à le déclarer. Le temps de réaliser, le temps d’en avoir peur, le temps de refuser l’évidence, le temps d’accepter. Devant cette maladie si particulière, une fois le stade de l’acceptation passé, il m’a fallu entamer une démarche pour structurer une action de reconstruction.
J’ai compris en ce qui me concerne trois points essentiels :
J’ai besoin de parler, de sortir de ma caverne, d’éliminer ces sources de stress qui m’ont conduit droit à la bouteille.
Je souhaite parler à des personnes qui ne me demandent ni d’où je viens, ni qui je suis, ni ce que je fais.
Mon interlocuteur privilégié doit être alcoolique lui-même, bien au fait de cette maladie et qui la connaît de l’intérieur comme le fond de sa poche. Je sais qu’il n’aura pas d’a priori et ne me jugera pas.
Finalement, j’ai simplement compris qu’il valait mieux être acteur de sa vie que spectateur de sa maladie.
jaja- Nombre de messages : 32567
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Re: Petit coin littérature
"Le jour où je me suis aimé pour de vrai"
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n’étaient rien d’autre qu’un signal
lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de vouloir une vie différente
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus
dans le fait de forcer une situation ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même
ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre
et j’ai arrêté de faire de grands plans,
j’ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime
quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s’appelle… la Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur,
elle devient une alliée très précieuse !
Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.
Kim Mc Millen
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n’étaient rien d’autre qu’un signal
lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de vouloir une vie différente
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus
dans le fait de forcer une situation ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même
ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre
et j’ai arrêté de faire de grands plans,
j’ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime
quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s’appelle… la Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur,
elle devient une alliée très précieuse !
Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.
Kim Mc Millen
Cath- Nombre de messages : 17007
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Re: Petit coin littérature
Très très beau, très très vrai . Merci Cathelyne .
jaja- Nombre de messages : 32567
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Re: Petit coin littérature
JE NE VEUX PLUS ME NIER
Je ne veux plus me nier, nier mes sentiments, mes besoins, mes attentes. Je veux être respectée, écoutée, entendue. J'ai le droit de respirer, de me dire: j'ai le droit de dénoncer, de penser, de crier; j'ai le droit d'exister. Je veux vivre debout, être en paix avec moi-même. Je veux grandir, changer, m'aimer. Je veux rêver, rire, m'épanouir. J'ai besoin d'air; j'ai besoin de m'écouter. J'ai besoin de décider pour moi, avec moi en fonction de mes besoins à moi, de ce que je veux faire de ma vie. J'en ai marre de vivre en fonctions des autres, pour être aimée. J'en ai marre de faire des courbettes, pour acheter la paix ou ne pas être seule. Je choisis de VIVRE; de vivre MA VIE. Je choisis de vivre mes sentiments, mes émotions, mes rêves, mes espoirs. Je veux me vivre jusqu'au bout, telle que je suis. Je me réserve le droit d'essayer, de me tromper, de recommencer, d'essayer encore, et de réussir... Pendant la transition: j'accepte ma souffrance, ma déception. J'accepte mon insécurité, mon désespoir. J'accepte ma colère contre les autres; on ne m'avait rien promis. J'accepte ma colère contre moi, de m'être si longtemps niée et oubliée. Je suis en sevrage car je sais qu'avec le temps ces sentiments vont s'atténuer et disparaître; remplacés par le pardon. Je sais qu'avec le temps mon coeur va guérir d'avoir mal aimé... Et peut-être qu'avec le temps, j'accepterai d'oser à nouveau, tenter l'expérience d'aimer et d'être aimée...(Auteur inconnu)
Invité- Invité
Re: Petit coin littérature
Que de choses ! Je veux vivre libre mais est-ce possible ?????
jaja- Nombre de messages : 32567
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